C’était déjà en mars. Mais sur la glace polaire au printemps 2017, le ciel était bleu et prometteur pour les affaires russes du groupe qui s’appelait alors Total. Trois ans après l’annexion de la Crimée, et les premières sanctions occidentales contre Moscou, la direction de la compagnie pétrolière française assistait à un émouvant hommage posthume de la part des Russes pour leur « ami » : Christophe de Margerie, l’ex-président de Total, mort à Moscou dans le crash de son avion le 20 octobre 2014.
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