Analyse

Le cap (contrarié) de TotalEnergies en Russie

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Les conduites de liquéfaction de gaz naturel de l’usine Arctic LNG 2 sont produites dans le village de Belokamenka, en Arctique russe. Son démarrage est prévu pour 2023.
Les conduites de liquéfaction de gaz naturel de l’usine Arctic LNG 2 sont produites dans le village de Belokamenka, en Arctique russe. Son démarrage est prévu pour 2023. Maksim Blinov / Sputnik/Sipa
La compagnie française mise depuis dix ans sur le gaz naturel liquéfié dans l’Arctique avec le groupe privé Novatek. Un partenariat bousculé par les sanctions occidentales contre Moscou depuis 2014.

C’était déjà en mars. Mais sur la glace polaire au printemps 2017, le ciel était bleu et prometteur pour les affaires russes du groupe qui s’appelait alors Total. Trois ans après l’annexion de la Crimée, et les premières sanctions occidentales contre Moscou, la direction de la compagnie pétrolière française assistait à un émouvant hommage posthume de la part des Russes pour leur « ami » : Christophe de Margerie, l’ex-président de Total, mort à Moscou dans le crash de son avion le 20 octobre 2014.

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