Treize minutes pour convaincre et affirmer qu’il a entendu la « colère » des Français. « Personne ne peut rester sourd à cette revendication de justice sociale et de rénovation de notre vie démocratique », a assuré Emmanuel Macron, dans une allocution télévisée, lundi 17 avril, pour tirer les conséquences de trois mois de crise sur la réforme des retraites.
Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Je m'abonne
Déjà abonné ? Je me connecte