« Je me sens pris dans un piège », lâche Abou Bakr, 19 ans, les yeux lourds de son innocence perdue. Visage fin et silhouette longiligne, le jeune Gambien croupit depuis un an et trois mois dans le centre de détention pour migrants à Al-Karareem, à la sortie est de Misrata. Abou Bakr affirme ne rêver que d’une seule chose : retourner dans son pays et poursuivre des études à l’Institut de formation technique de Jeshwang.
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