« Ce n’est pas un simple deuil, on le vit dans nos entrailles », décrit avec pudeur Delphine, 42 ans, professeure des écoles dans le Val-de-Marne. Pendant son premier arrêt naturel de grossesse, elle se sent « traitée comme à l’ancienne, sans grande humanité ». Pour sa seconde fausse couche, elle change d’hôpital et se rend à la Pitié-Salpêtrière, à Paris. Elle y reçoit une écoute dans la longueur.
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