Témoignages

Fausse couche : à l’hôpital, la vraie solitude

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Les arrêts naturels de grossesse concernent 200 000 Françaises chaque année. Plusieurs femmes et soignantes témoignent à La Croix du manque d’accompagnement des femmes et alertent sur des expériences « traumatisantes ».
Les arrêts naturels de grossesse concernent 200 000 Françaises chaque année. Plusieurs femmes et soignantes témoignent à La Croix du manque d’accompagnement des femmes et alertent sur des expériences « traumatisantes ». SDI Productions / Getty Images
Les arrêts naturels de grossesse concernent 200 000 Françaises chaque année. La Croix a recueilli le témoignage de nombreuses femmes et soignantes qui alertent sur la prise en charge souvent « traumatisante » des fausses couches à l’hôpital.

« Ce n’est pas un simple deuil, on le vit dans nos entrailles », décrit avec pudeur Delphine, 42 ans, professeure des écoles dans le Val-de-Marne. Pendant son premier arrêt naturel de grossesse, elle se sent « traitée comme à l’ancienne, sans grande humanité ». Pour sa seconde fausse couche, elle change d’hôpital et se rend à la Pitié-Salpêtrière, à Paris. Elle y reçoit une écoute dans la longueur.

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