Fumata blanca, la fumée était blanche à Bruxelles ce jeudi 9 novembre. Les socialistes et Carles Puigdemont se sont finalement mis d’accord sur un projet de loi d’amnistie, en échange des votes catalans pour l’investiture du président socialiste sortant, Pedro Sanchez. Il aura fallu des semaines de négociations secrètes pour aboutir à « une opportunité historique pour résoudre un conflit qui ne peut se résoudre que depuis la politique », selon le secrétaire à l’organisation du Parti socialiste ouvrier (PSOE), Santos Cerdan, présent depuis plusieurs jours à Bruxelles pour faire avancer les tractations. De son côté, Carles Puigdemont, chef du parti indépendantiste Junts, évoque quant à lui « une étape inédite ».
Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Je m'abonne
Déjà abonné ? Je me connecte