Analyse

Tsunamis : après la catastrophe de 2004, un vaste réseau d’alerte dans l’océan Indien

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Dans la province d’Aceh, dans le nord de Sumatra (Indonésie), le 12 novembre, des enfants participent à un atelier pour apprendre à réagir en cas de tsunami, organisé sous l’égide de l’Unesco.
Dans la province d’Aceh, dans le nord de Sumatra (Indonésie), le 12 novembre, des enfants participent à un atelier pour apprendre à réagir en cas de tsunami, organisé sous l’égide de l’Unesco. Roni Bintang / Getty Images via AFP
Au lendemain du terrible tsunami du 26 décembre 2004, un immense système d’alerte précoce a été déployé dans tous les pays de l’océan Indien grâce à la mobilisation internationale. Un vaste réseau de stations sismologiques et de sondes permet de prévenir rapidement les populations côtières, mieux préparées que jamais.

« Il y a vingt ans, j’étais dans les collines et j’ai vu l’océan engloutir en quelques minutes mon village de Bireuën… Cette vision cauchemardesque me hante encore parfois aujourd’hui, mais la vie a repris ses droits. » Azul Namploh, 40 ans, né dans la province d’Aceh, dans le nord de l’île indonésienne de Sumatra où le tsunami de 2004 a fait plus de 120 000 morts, redoute toujours la colère de la terre et de l’océan.

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