« Il y a vingt ans, j’étais dans les collines et j’ai vu l’océan engloutir en quelques minutes mon village de Bireuën… Cette vision cauchemardesque me hante encore parfois aujourd’hui, mais la vie a repris ses droits. » Azul Namploh, 40 ans, né dans la province d’Aceh, dans le nord de l’île indonésienne de Sumatra où le tsunami de 2004 a fait plus de 120 000 morts, redoute toujours la colère de la terre et de l’océan.
Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Je m'abonne
Déjà abonné ? Je me connecte