« La loi de 1905 n’est pas un édit de tolérance mais une loi de liberté. Elle protège la liberté de conscience, de culte (…) de croire ou de ne pas croire. » Emmanuel Macron a défendu, lundi 5 mai, l’esprit de la loi de séparation des Églises et de l’État dont on fêtera en décembre prochain les 120 ans. Alors que les débats agitent la société sur la place du religieux, le président de la République a tenu à anticiper ces célébrations et à rappeler des « vérités simples ».
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