Analyse

Devant les francs-maçons, Emmanuel Macron défend la laïcité et l’aide active à mourir

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Le président Emmanuel Macron prononce un discours aux côtés de la ministre de la culture Rachida Dati et du Grand maître franc-maçon Thierry Zaveroni lors d’une visite à la Grande Loge de France (GLDF), la plus ancienne obédience maçonnique de France, à Paris, le 5 mai 2025.
Le président Emmanuel Macron prononce un discours aux côtés de la ministre de la culture Rachida Dati et du Grand maître franc-maçon Thierry Zaveroni lors d’une visite à la Grande Loge de France (GLDF), la plus ancienne obédience maçonnique de France, à Paris, le 5 mai 2025. SARAH MEYSSONNIER / AFP
Le président de la République s’exprimait lundi 5 mai devant les francs-maçons de la Grande loge de France. Dans la perspective du 120e anniversaire de la loi de 1905, il a défendu la laïcité, mais aussi la loi ouvrant à l’aide active à mourir en cours d’examen à l’Assemblée. Il a félicité les francs-maçons pour leur « ambition de faire de l’homme (…) le libre acteur de sa vie, de la naissance à la mort ».

« La loi de 1905 n’est pas un édit de tolérance mais une loi de liberté. Elle protège la liberté de conscience, de culte (…) de croire ou de ne pas croire. » Emmanuel Macron a défendu, lundi 5 mai, l’esprit de la loi de séparation des Églises et de l’État dont on fêtera en décembre prochain les 120 ans. Alors que les débats agitent la société sur la place du religieux, le président de la République a tenu à anticiper ces célébrations et à rappeler des « vérités simples ».

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