Ce n’est pas vraiment une surprise, mais cela résonne comme un signal d’alarme. Alors que la France prévoit de réduire ses déficits publics à 3 % de son PIB dès 2013, comme l’exigent ses engagements européens, les dernières prévisions du FMI publiées mardi 17 avril au soir sèment le doute sur la capacité du pays à tenir sa feuille de route, en raison d’une croissance plus molle qu’escompté.
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