Retrouvez dans ce dossier les dernières actualités et infos le groupe agroalimentaire suisse Nestlé.
En savoir plusLe Sénat a annoncé lundi 12 mars 2025 saisir le procureur de Paris après une audition du directeur industriel de Nestlé Waters, maison mère de l’eau Perrier. La commission d’enquête le soupçonne de « faux témoignage » sur la situation du site de Perrier à Vergèze (Gard).
Le préfet du Gard, Jérôme Bonet, a donné deux mois à Nestlé Waters pour se mettre en conformité et retirer les filtres de ses eaux minérales naturelles de Perrier, dans le Gard. Dans la commune de Vergèze, les habitants vivent au rythme des révélations et décisions de justice.
Nestlé a été mis en demeure par la préfecture du Gard, mercredi 7 mai 2025, de « retirer dans un délai de deux mois » son système de microfiltration de son eau minérale Perrier, à Vergèze. Ce système avait été installé pour remplacer les traitements interdits que le groupe avait reconnu utiliser début 2024.
Un magistrat instructeur a décidé de poursuivre les investigations sur deux plaintes de l’association Foodwatch pour « tromperie » visant Nestlé et Sources Alma, a-t-on appris jeudi 13 février. Les deux entreprises sont accusées d’avoir appliqué des traitements possiblement illicites à leurs eaux minérales.
Dans le Gard, Vergèze vit au rythme de l’usine Perrier : au gré de la production et des scandales. « Le Monde » et Radio France révèlent mardi 4 février que l’exécutif a autorisé Nestlé à utiliser des filtres illégaux. Une commission d’enquête parlementaire est en déplacement vendredi 7 février sur le site gardois.
A nouveau ciblé par les autorités sanitaires, le géant de l’agroalimentaire Nestlé voit le statut d’« eau minérale naturelle » de Perrier contesté. Dans son usine du Gard, un rapport de l’Agence régionale de santé dénonce un risque virologique et un manque de garanties contre les fraudes relevées ces derniers mois.
Dans un rapport, l’agence régionale de santé d’Occitanie s’inquiète de la qualité des eaux exploitées sur un site de la marque Perrier, selon des révélations faites ce lundi 16 décembre par des médias français. Les autorités invitent l’entreprise à arrêter sa production d’eau minérale naturelle sur le site.
Le procureur d’Épinal a annoncé mardi 10 septembre avoir conclu une convention judiciaire d’intérêt public (CJIP) avec Nestlé Waters qui devra payer une amende de deux millions d’euros à la suite de deux affaires judiciaires.
Nestlé Waters a annoncé mercredi 24 avril avoir détruit « par précaution » deux millions de bouteilles Perrier, après avoir constaté une dégradation de la qualité de l’eau dans l’un de ses puits du Gard, à la suite « des très fortes pluies » qui ont touché le sud-est de la France mi-mars.
Dans une note dont le contenu a été révélé jeudi 4 avril, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) prône la mise en place d’un « plan de surveillance renforcée » des sites de captage d’eaux de Nestlé pour assurer « la qualité sanitaire » des eaux minérales.
Le parquet d’Épinal a ouvert une enquête préliminaire pour tromperie à l’encontre de Nestlé Waters, a déclaré le procureur de la République mercredi 31 janvier. Le groupe est soupçonné d’avoir eu recours à des traitements illégaux pour purifier ses eaux minérales.
Un tiers des marques d’eau en bouteille ne seraient pas conformes à la réglementation, selon une enquête administrative révélée par Radio France et Le Monde. Le géant Nestlé, l’un des groupes épinglés, assure avoir mis fin à des pratiques pour ses eaux minérales.
Le 2 octobre, Nestlé annonçait déployer un système d’assurance basé sur les données météorologiques pour protéger 800 petits producteurs de café en Indonésie. Cette approche, qui a émergé ces dernières années, est amenée à se développer, sur fond de dérèglement climatique.
Les géants Nestlé et Ferrero sont mis en cause dans des cas de graves intoxications alimentaires, dont les origines restent à déterminer. En attendant, la communication des groupes peine à se montrer à la hauteur des enjeux.
La multinationale suisse de l’agroalimentaire a annoncé jeudi 27 janvier le lancement d’un plan de financement pour réduire le recours au travail des enfants.
Le géant suisse réduit sa participation dans le numéro 1 mondial des cosmétiques. La famille Bettencourt Meyers renforce sa position, un peu plus de trois ans après la fin du pacte d’actionnaires, scellé dans les années 1970, qui figeait le poids respectif de la famille du fondateur et de Nestlé dans L’Oréal.
Le groupe suisse Nestlé a annoncé avoir finalisé, mardi 28 août, une transaction avec Starbucks, lui donnant le droit perpétuel de commercialiser des produits de la célèbre marque de café américaine.
Cet accord liant le groupe suisse à la famille Bettencourt-Meyers – principal actionnaire de L’Oréal – date de 1974. Il expire mercredi 21 mars.
Le géant suisse veut fermer son centre de recherche en dermatologie, installé à Sophia-Antipolis et qui emploie 550 personnes.
La mort de Liliane Bettencourt ravive les interrogations autour de l’actionnariat du numéro un mondial des cosmétiques, dont Nestlé est le deuxième actionnaire derrière la famille.
Pour la première fois depuis 1922, le nouveau directeur général du géant suisse de l’agroalimentaire a été choisi à l’extérieur du groupe. Une nouveauté qui pourrait symboliser une évolution dans la stratégie du groupe
Nestlé est un groupe agroalimentaire suisse né en 1867 avec le lancement par un pharmacien, Henri Nestlé, d’une farine lactée, un aliment pour bébé, puis celui du premier chocolat au lait. Au début du XXe siècle, Nestlé devient une véritable entreprise de l’industrie laitière et multiplie les acquisitions pour dominer désormais le marché mondial de l’alimentation.
