Retrouvez les dernières actualités et infos sur l’OPEP (Organisation des pays exportateurs de pétrole).
En savoir plusFace à la chute des cours, plusieurs pays, comme l’Arabie saoudite, la Russie et l’Algérie ont annoncé, samedi 3 mai, qu’ils allaient accroître leurs volumes d’extraction de pétrole, afin de maintenir leurs rentrées de devises. Une stratégie qui pourrait accentuer la chute des cours, déjà en repli de 25% sur un an.
Le passage de l’ouragan Béryl au Texas, début juillet, a dopé les prix du baril d’or noir sur les marchés, les investisseurs craignant de possibles ruptures d’approvisionnement. Les pétroliers s’inquiètent des effets du réchauffement sur leurs infrastructures. Ce qui ne les empêche pas de continuer d’investir.
La COP28 cherche un consensus autour des énergies fossiles.
Hydrocarbure, Opep, choc pétrolier, baril ou cours de pétrole… parler pétrole requiert parfois des connaissances pointues. Alors que l’or noir sera au cœur des discussions de la COP 28 à Dubaï, La Croix vous aide à y voir plus clair.
L’Arabie saoudite, poids lourd de l’Opep, a décidé dimanche 4 juin de diminuer une nouvelle fois sa production dans l’espoir de faire remonter des cours du pétrole en berne et de ramener la stabilité sur un marché très volatil.
À la surprise générale, l’Opep et ses alliés ont décidé de réduire encore un peu plus leur production de pétrole cette année. L’effet sur le prix du carburant à la pompe devrait se faire sentir d’ici quelques jours.
L’objectif est de maintenir les cours à un niveau élevé pour faire face au ralentissement de la demande qui se profile.
La hausse de la production promise par l’Opep + pour cet été n’a eu aucun effet sur les cours. En France, le prix de l’essence atteint un nouveau record.
Contrairement à ce qui était prévu, les pays producteurs de pétrole, emmenés par l’Arabie saoudite, se sont engagés à pomper davantage pour faire baisser les prix.
L’accord entre pays producteurs de pétrole signé au mois d’avril est globalement respecté : le prix du baril s’est stabilisé autour de 45 dollars. Mais les perspectives de reprise de la demande s’éloignent, alors que l’on craint une reprise de l’épidémie de Covid-19 à la rentrée.
Face à l’effondrement de la demande de pétrole, l’Opep et ses alliés vont baisser de 10 % leur production. Du jamais vu.
Les cours se sont effondrés après la décision de l’Arabie saoudite de baisser le prix de son baril. Avec la crise du coronavirus, la demande de pétrole devrait reculer en 2020, pour la première fois depuis 2009.
Chute des cours du pétrole, baisse du prix du brut et prévisions de la demande annuelle en baisse sont les conséquences directes de l’épidémie de coronavirus dans le monde.
L’Opep et ses alliés, dont la Russie, n’ont pas réussi à se mettre d’accord ce vendredi 6 mars, lors d’une réunion à Vienne, pour réduire conjointement leur offre de pétrole. Les cours perdent quasiment 30 % depuis le 1er janvier.
Le prix du baril a baissé de 20 % depuis le 1er janvier. L’Opep et ses alliés doivent se réunir dans les prochains jours à Vienne pour décider de la conduite à tenir.
Pour éviter une nouvelle chute des cours, l’Opep et la Russie ont décidé de prolonger leur accord de réduction de la production de brut.
Une réunion se tient à Vienne. L’objectif est de trouver un accord pour limiter la production et faire remonter les cours.
Le prix du baril a perdu un tiers de sa valeur en six semaines. Pour inverser la tendance, l’OPEP compte réduire sa production, mais il n’est pas sûr que cela suffise.
Les ministres de l’énergie de Russie, d’Arabie saoudite, du Koweït, du Venezuela et des Émirats arabes unis se réunissent dimanche 11 novembre à Abu Dhabi.
Le cartel des pays pétroliers a avalisé avec la Russie et ses autres partenaires le principe d’une hausse de production. Les experts jugent celle-ci trop « vague » pour peser significativement sur les cours et répondre aux injonctions de Donald Trump de faire baisser les prix pour l’été.
Les pays de l’organisation de pays exportateurs de pétrole (Opep) tiennent leur réunion semestrielle vendredi 23 et samedi 23 juin à Vienne. L’ambiance devrait être conflictuelle entre ces 24 pays, qui représentent plus de 50 % de la production mondiale de brut.
Les cours du pétrole sont remontés à leur plus haut niveau depuis 2014, poussés par une hausse de la demande et une baisse anticipée de l’offre. Après s’être entendus pour limiter leur production, Riyad et Moscou envisagent désormais une reprise. La prochaine réunion de l’OPEP, le 22 juin, sera décisive.
Le baril frôle désormais les 75 dollars en Europe, soit 43 % de plus qu’il y a un an.
La remontée des prix du baril pourrait peser sur l’économie mondiale. Mais une chute des cours n’est pas exclue non plus.
Pour Francis Duseux, président de l’Union française des industries pétrolières (Ufip), la stratégie de réduction de la production adoptée par l’Opep et son alliée, la Russie, s’avère payante. Le prix du baril remonte. Mais jusqu’où ?
Menés par l’Arabie saoudite, les 14 membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et ses dix alliés, dont la Russie, se sont engagés à réduire leur production jusqu’à la fin de 2018 dans le but de faire remonter les cours.
Contre toute attente, l’OPEP a réussi à limiter sa production. Les tensions en Arabie saoudite maintiennent la pression sur les cours.
L’accord de réduction de production de pétrole a été reconduit de neuf mois par le cartel et ses partenaires. Mais l’objectif poursuivi – faire remonter les cours – se heurte à la florissante production américaine d’huile de schiste, qui continue d’augmenter.
L’accord de réduction de la production a été prolongé jusqu’en mars 2018.
Comme prévu, la production américaine d’huile de schiste repart à la hausse et pèse sur les cours.
Le baril de Brent a dépassé les 55 dollars (52,6 euros), porté par les promesses de réduction de l’offre de la part des grands pays producteurs Mais les analystes ne s’attendent pas à une remontée spectaculaire des cours.
Selon le ministère de l’énergie, les prix des carburants subissent des hausses continues depuis plusieurs semaines. Accords de l’Opep sur la baisse de production, hausse du dollar et alourdissement de la fiscalité : autant de facteurs propices à une augmentation à la pompe en 2017.
L'organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) célèbre aujourd'hui, à Vienne en Autriche, son cinquantième anniversaire. Cette organisation reste le seul exemple d'un cartel ayant réussi à orienter durablement les prix, en dépit de ses failles et de ses tiraillements internes
L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) abaissera sa production jusqu'à ce que les prix se stabilisent, a annoncé Chakib Khelil, président de l'Opep
L'Opep a décidé mercredi 10 septembre de réduire son offre à 520.000 barils par jour pour enrayer la chute du prix du pétrole brut, tombé brièvement sous 100 dollars le baril, une victoire des "faucons" du cartel, notamment l'Iran, et un camouflet pour l'Arabie saoudite
Les pays membres de l'Opep se réunissaient mardi 9 septembre à Vienne pour définir leur politique de production de pétrole
La hausse des prix du pétrole va se poursuivre en raison de la chute du dollar et elle n'est "dans l'intérêt de personne", prévient le président de l'Opep
La conférence organisée dimanche à Djedda (Arabie saoudite) a souligné les divisions au sein de l'organisation entre partisans et opposants d'une relance de la production de pétrole
Les pays producteurs, les compagnies pétrolières et parapétrolières, les autres sources d'énergie et certains investisseurs profitent des cours élevés du brut
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole, dont le siège est à Vienne (Autriche) a été créé en 1960 par cinq pays producteurs d’or noir : Arabie saoudite, Iran, Irak, Koweït, Venezuela. Son but est de contrer les baisses des prix imposées par les compagnies pétrolières. L’Opep s’est renforcée au fil des années en accueillant de nouveaux pays membres (13 actuellement).
