Explication

Un an après Lubrizol, ce que veulent les associations

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Il y a un an, le 26 septembre 2019, un important incendie s’est déclaré dans l’usine classée Seveso.
Il y a un an, le 26 septembre 2019, un important incendie s’est déclaré dans l’usine classée Seveso. O.Lejeune / PHOTOPQR/LE PARISIEN/MAXPPP
Samedi 26 septembre, à l’appel du collectif unitaire Lubrizol, une centaine de manifestants ont marché dans les rues de Rouen. Un an après l’incendie, les associations réclament contre-expertise, suivi sanitaire et sanctions exemplaires.

« État coupable, Lubrizol complice », « Pollueur payeur, État menteur » ou encore « Je Suie Rouen », pouvait-on lire sur les pancartes des manifestants à Rouen, samedi 26 septembre. À l’appel du collectif unitaire Lubrizol, il était plusieurs centaines selon l’AFP à marcher du site de l’industriel au centre-ville. Il y a un an, brûlaient près de 9 505 tonnes de produits chimiques, stockés dans cette usine de lubrifiants automobiles, classée Seveso seuil haut, et chez son voisin Normandie Logistique.

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