« État coupable, Lubrizol complice », « Pollueur payeur, État menteur » ou encore « Je Suie Rouen », pouvait-on lire sur les pancartes des manifestants à Rouen, samedi 26 septembre. À l’appel du collectif unitaire Lubrizol, il était plusieurs centaines selon l’AFP à marcher du site de l’industriel au centre-ville. Il y a un an, brûlaient près de 9 505 tonnes de produits chimiques, stockés dans cette usine de lubrifiants automobiles, classée Seveso seuil haut, et chez son voisin Normandie Logistique.
Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Je m'abonne
Déjà abonné ? Je me connecte