Bogota a annoncé jeudi 8 février de nouvelles mesures pour faire face à l’afflux de Vénézuéliens fuyant la crise économique.

Bogota a annoncé jeudi 8 février de nouvelles mesures pour faire face à l’afflux de Vénézuéliens fuyant la crise économique.
La Colombie est le deuxième pays au monde le plus touché par la dengue, après le Brésil. Une maladie qui concerne 50 millions de personnes dans le monde. Le laboratoire du Programme d’étude et de contrôle des maladies tropicales à Medellin mise sur une bactérie pour éradiquer cette maladie ravageuse.
La dernière guérilla active du pays, l’ELN, a sollicité mardi 30 janvier la présence de l’Église catholique à Quito, où se tenaient ces jours-ci des discussions avec l’État colombien, en dépit de la suspension du dialogue le jour précédent.
CHRONOLOGIE Après l’accord de paix signé avec le gouvernement colombien, les guérilleros des Farc ont débuté mardi 20 juin la dernière phase de leur désarmement. Une fois terminée, cette étape signera définitivement la fin d’un conflit vieux de 52 ans. D’autres guérillas ont également entamé un processus de paix.
CONSTRUIRE LA PAIX - En 2016, les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) et l’État colombien ont mis fin à plus d’un demi-siècle de conflit armé. L’un des appuis de ce processus réussi a été la parole donnée aux victimes et à leurs proches.
Le gouvernement colombien s’est dit prêt, lundi 16 janvier, à un nouveau cessez-le-feu avec l’ELN, la dernière guérilla active du pays.
Après une série d’attaques attribuée à l’ELN, dernière guérilla active en Colombie, le président Juan Manuel Santos a indiqué mercredi 10 janvier avoir rappelé son négociateur en chef.
Parce qu’elles peuvent mettre fin à une crise ou parce qu’elles seront un test pour certains leaders, certaines élections seront à suivre cette année partout dans le monde.
Région par région, « La Croix » analyse quels seront les événements qui vont faire 2018 dans le monde.
Le pays sud-américain est le deuxième le plus touché au monde par les mines antipersonnel, après l’Afghanistan.
La Colombie signait il y a un an un accord de paix historique avec les FARC. Les 7 000 anciens guérilleros ont depuis été regroupés dans 26 zones de « transition ». Ils attendent des programmes de réintégration à la vie civile qui tardent à venir.
Rodrigo Londoño Echeverry (58 ans), ancien chef rebelle colombien de la Force alternative révolutionnaire commune (Farc), a annoncé mercredi 1er novembre, sa candidature à la présidentielle. Cette course au sommet de l’État intervient une année après la signature de l’accord de paix en Colombie.
Une manifestation de paysans pauvres contre l’éradication des cultures de coca a dégénéré, faisant six morts et plus de vingt blessés dans la région de Tumaco. Face au risque de remise cause du processus de paix, l’Église catholique réclame de la part de l’État une politique agraire plus transparente.
Depuis le durcissement de la crise au Venezuela, il y a près d’un an, le nombre de jeunes cherchant refuge dans la Colombie voisine ne cesse de croître. Ils arrivent souvent démunis et sans projet précis, fuyant la misère et le chaos.
ENTRETIEN. Dominik Stillhart, le directeur des opérations du Comité international de la Croix-Rouge (CICR), décrit les conflits oubliés, l’importance de s’en préoccuper et la difficulté de les régler du fait de la fragmentation des belligérants.
Le père Abelardo Muñoz Sanchez a été tué mardi 3 octobre par les passagers d’une moto dans la région d’Antioquia (Colombie) alors qu’il circulait en taxi. L’Amérique latine détient chaque année le triste record du nombre de prêtres et laïcs engagés assassinés par balle.
Juan Pablo Escobar, fils du célèbre narcotrafiquant colombien, livre sa version de la traque de son père, et demande pardon des crimes commis par son père.
Engagé dans un « processus de paix », ce pays déploie une infinité de visages pour les voyageurs en quête d’une destination encore peu connue.
À compter du mardi 26 septembre 2017, la chaîne d’information internationale diffusera chaque jour six heures d’actualité en espagnol. Basée à Bogotá, la rédaction proposera des sujets centrés sur l’Amérique latine mais aussi tournés vers le reste du monde.
Du 6 au 11 septembre, le pape François était en Colombie pour un voyage au service de la réconciliation. Voici dix temps forts de cette visite historique, un an après l’accord de paix entre le pouvoir et les Farc.
Interrogé par les journalistes dans l’avion qui le ramenait à Rome, dimanche 10 septembre, le pape a notamment évoqué le changement climatique et les migrants.
Au dernier jour de son voyage en Colombie, dimanche 10 septembre, le pape François a souligné le lien entre le respect des droits humains et le processus de réconciliation qu’il était venu soutenir.
À Carthagène, dernière étape de son voyage colombien, François n’a pas manqué d’interpeller les dirigeants du Venezuela tout proche.
Samedi 9 septembre, à Medellin, ville mondialement connue pour avoir hébergé le plus important cartel de drogue au monde, le pape a invité prêtres et religieux à demander pardon et à prier pour tous ceux « qui ont détruit » les vies de tant de jeunes.
Parmi les pèlerins venus rencontrer le pape François à Carthagène, dimanche, Juan Pablo Escobar, fils de l’ancien chef du cartel de Medellin. Il y sera au côté de Jorge Lara, dont le père avait été assassiné par les hommes de Pablo Escobar. De passage à Paris, la semaine dernière, La Croix l’a rencontré.
Venu en Colombie confirmer le processus de paix qui veut mettre fin à plusieurs décennies de guerre civile, le pape François n’a eu de cesse, depuis son arrivée mercredi 6 septembre, d’appeler le pays à la réconciliation. Mais aussi de souligner les causes de la violence.
Avec des accents de théologien de la libération, le pape a exhorté les catholiques colombiens à être « des disciples missionnaires qui prennent des risques, agissent, s’engagent »
Le pape François a prié, vendredi 8 septembre, pour les victimes de l’ouragan Irma et pour ceux du tremblement de terre qui a frappé le sud du Mexique.
Lors d’une messe célébrée vendredi 8 septembre à Villaviciencio (centre de la Colombie), le pape a béatifié un évêque et un prêtre victimes de la violence et « expression, selon lui, d’un peuple qui veut sortir du bourbier de la violence et de la rancœur ».
Le pape François béatifiera vendredi 8 septembre deux prêtres colombiens martyrs. À cette occasion, La Croix revient sur les victimes du conflit issues des rangs du clergé.
Dans une lettre ouverte adressée au pape jeudi 7 septembre au lendemain de son arrivée en Colombie, le leader de l’ancienne guérilla implore son « pardon » pour toutes les « larmes » causées par les Farc pendant plus de cinquante ans de conflit.
En 2004, Clara Rojas, otage des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc), avait donné naissance à un enfant dans la jungle. Son fils Emmanuel était présent mercredi 6 septembre à l’aéroport de Bogota pour remettre un symbole de paix au pape François à son arrivée en Colombie.
Le pape François se rend vendredi 8 septembre à Villavicencio pour y prêcher la réconciliation entre les Colombiens mais aussi avec la nature, dans cette ville à proximité de l’Amazonie, le « poumon de la planète ».
Le pape est attendu, dimanche 10 septembre, à Carthagène, en Colombie, dans le quartier défavorisé de San Francisco, où il est perçu comme un « ami des pauvres ».
Lors de la messe célébrée jeudi 7 septembre au parc Simon-Bolivar de Bogota, le pape François a fait un clair parallèle entre le respect de la dignité de l’homme, dont le respect de la vie, avec la construction de la paix.
Avec une délégation de quatre autres évêques vénézuéliens, le cardinal Jorge Urosa Savino a brièvement rencontré le pape François, jeudi 7 septembre, à l’issue de la messe célébrée au parc Simon-Bolivar de Bogota. Il a expliqué à La Croix le sens de cette démarche.
Le pape François se rend vendredi 8 septembre à Villavicencio, où il présidera un « acte de réconciliation ». Il se trouvera en présence de 6000 victimes et de 500 anciens combattants des guérillas et des paramilitaires, représentant les 8 millions de personnes touchées par le conflit. La Croix est allée à la rencontre de deux femmes incarnant la violence vécue dans le pays et le désir de tourner la page d’un passé de haine pour marcher vers le pardon.
Aux autorités, aux jeunes et aux évêques colombiens, qu’il a rencontrés jeudi 7 septembre, au premier jour de son voyage en Colombie, le pape François a délivré un unique message : pour avancer sur le chemin de la réconciliation et transformer en profondeur une société marquée par la violence, la Colombie a besoin de l’engagement de tous.
Le pape François est arrivé mercredi 6 septembre à Bogota où il a été accueilli par des dizaines de milliers de fidèles enthousiastes.
Le pape François s’est envolé, mercredi 6 septembre au matin pour la Colombie, où il passera quatre jours pleins afin d’encourager le pays à la réconciliation, un an après l’accord de paix avec les Farc. Un programme chargé l’attend pendant son séjour, au cours duquel il se rendra dans quatre villes différentes.
Le pape rencontrera jeudi 7 septembre à Bogotà une délégation d’évêques du Venezuela, pays voisin qui traverse une grave crise politique et économique.
ENTRETIEN Le cardinal Rubén Salazar, archevêque de Bogota, compte sur la visite du pape pour aider les Colombiens à s’engager dans la construction de la paix, au-delà des clivages.
Le pape entame mercredi 6 septembre un voyage de quatre jours dans une Colombie divisée au sujet de l’accord de paix entre le gouvernement et les Farc signé il y a un an. François vient donner une nouvelle impulsion à la réconciliation nationale et encourager l’Église colombienne à prendre sa part dans la construction de la paix.
Si le pape est attendu en Colombie sur le thème de la réconciliation, qu’il a grandement encouragée, il s’attachera aussi aux causes profondes d’une violence toujours très présente dans le pays.
Dans une vidéo publiée peu avant son voyage en Colombie, du 6 au 11 septembre, le pape François invite les Colombiens à être des constructeurs de paix.
Deux jours avant l’arrivée du pape François en Colombie, le gouvernement a annoncé lundi 4 septembre avoir signé une trêve de 102 jours avec l’ELN, la dernière guérilla active après l’abandon par les Farc de la lutte armée.
Un air musical particulier accompagnera la visite du pape François en Colombie. Une religieuse, sœur Maria Valentina, va chanter pour le souverain pontife lors de son séjour du 6 au 10 septembre.
Le pape se rend du 6 au 11 septembre 2017 en Colombie pour un voyage placé sous le signe de la réconciliation. Marie Malzac, journaliste au service religion de La Croix, s’est rendue dans trois des quatre villes visitée par le pape, notamment dans les quartiers délaissés de Carthagène, au nord du pays. Témoignage.
[DOSSIER] Pour son cinquième voyage en Amérique latine, le pape François a passé, du 6 au 11 septembre, quatre jours pleins en Colombie afin d’encourager le pays à la réconciliation, un an après l’accord de paix avec les Farc. À Carthagène, dernière étape de son voyage colombien, le pape n’a pas manqué également d’interpeller les dirigeants du Venezuela tout proche en lançant un appel à la fin de « tout type de violence dans la vie politique » de ce pays.
La dernière guérilla active en Colombie vient de faire son « mea culpa » pour l’assassinat de l’évêque qui sera béatifié par le pape au cours de son déplacement dans le pays, du 6 au 11 septembre.
Le pape François est attendu en Colombie, du 6 au 11 septembre 2017, pour un voyage placé sous le signe de la réconciliation, un an après un accord controversé entre le gouvernement et les FARC. Le point sur quatre aspects importants de ce déplacement.
L’ancienne organisation armée, réunie depuis le 27 août à Bogota pour se constituer en parti politique, cherche des alliés pour former un « gouvernement de transition » en Colombie.
Le tout premier congrès des Farc, qui débute ce dimanche 27 août à Bogota, doit jeter les bases de leur parti politique, avec sa ligne, sa direction et ses candidats aux élections de 2018.
Réfugiée au Brésil, l’ex-procureure générale vénézuélienne devrait bientôt faire l’objet d’un mandat d’arrêt international lancé par le président contesté Nicolas Maduro. Arrivée à Brasília, elle s’est dite déterminée à poursuivre son combat contre le président vénézuélien.
Plongé dans une crise politique profonde, le Venezuela voit de nombreuses figures de l’opposition, notamment l’ancienne procureure Luisa Ortega, fuir vers des pays voisins. La Colombie, le Chili, et le Brésil sont les principales destinations de ces demandeurs d’asile politique.
Le désarmement des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) s’est achevé mardi 15 août. Le conflit avec cette guérilla est « vraiment » terminé, a affirmé le président colombien Juan Manuel Santos, après la remise des dernières armes de la plus ancienne rébellion du continent américain. Stephan Sakalian, le directeur régional pour les Amériques au CICR revient sur ce qu’il reste à accomplir pour gagner la paix.
L’hymne de la prochaine visite pontificale en Colombie mêle rap et musique folklorique dans un clip qui célèbre la paix retrouvée du pays.
L’ancienne guérilla, qui a rendu les armes après plus d’un demi-siècle de conflit, a annoncé lundi 24 juillet qu’elle lancera son parti politique le 1er septembre.
Les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) ont annoncé lundi 24 juillet qu’elles allaient lancer leur parti politique le 1er septembre.
La Croix vous dévoile le programme du pape François en Colombie. Lors de son voyage, du 6 au 10 septembre, le pape visitera Bogotá, Villavicencio, Medellín et Carthagène des Indes.
Les évêques souhaitent que la guérilla de l’ELN et le gouvernement colombien parviennent à un cessez-le-feu pour la visite que le pape doit effectuer dans le pays début septembre.
Hier, la guérilla des Farc et l’armée colombienne se faisaient la guerre dans ce petit village du Cauca. Le mardi 20 juin, les Farc doivent achever de livrer leurs armes à l’ONU. Monterredondo commence à respirer.
En vertu d’un accord historique signé l’an dernier avec Bogota, la guérilla colombienne des Farc devait totalement se désarmer avant ce mardi 20 juin.
Le Vatican a annoncé que le pape François se rendra au Chili du 15 au 18 janvier 2018 et au Pérou du 18 au 21 janvier.
Samedi 17 juin vers 17 heures, une bombe a explosé dans un centre commercial de la capitale colombienne. L’attentat a fait trois morts, dont une Française âgée de 23 ans.
Un étudiant, un danseur et un chargé de communication ont récemment formalisé leur relation devant un notaire de Medellin. Une décision dans laquelle l’Église catholique, très importante en Colombie, voit « une manifestation de plus d’un mépris croissant pour la famille ».
Après six mois consacrés à la France en Colombie, dont le point d’orgue aura été la Foire du livre de Bogota en mai, la saison d’événements colombiens débute ces jours-ci dans l’Hexagone.
À 26 ans, José Luis est depuis deux mois « bibliothécaire de la paix » dans un village hier en guerre.
Engagé en novembre 2016, le processus de paix historique entre le gouvernement et la guérilla des Farc suit son cours, après plus de cinquante ans de conflit. Si la plus importante guérilla du pays a déposé les armes, le vide qu’elle a laissé dans certaines zones suscite cependant l’appétit de bandes criminelles.
La France est le pays invité d’honneur du Salon du livre de Bogota, l’un des plus importants d’Amérique latine. Cette participation s’inscrit dans le cadre de l’année France-Colombie, témoignage du soutien affiché de Paris au processus de paix en cours.
La police colombienne estime que le groupe djihadiste Front de libération Macina (FLM) est responsable de l’enlèvement d’une religieuse franciscaine, en février au Mali.
Le nouveau bilan de la coulée de boue qui a dévasté la ville de Mocoa, au sud de la Colombie, s’est alourdi jeudi 6 avril à plus de 300 morts. Alors que les équipes de recherche déployées sur place s’activent pour retrouver les personnes disparues, une enquête a été ouverte pour établir les responsabilités.
Un des points de désarmement des guérilleros est proche du lieu de la catastrophe
La coulée de boue survenue samedi 1er avril en Colombie a fait au moins 254 morts. Selon témoins et experts, elle était prévisible sans que l’on puisse l’annoncer avec précision.
Une gigantesque coulée de boue à Mocoa due à des pluies violentes, a dévasté la ville de Mocoa, dans le sud de la Colombie. La Croix-Rouge a répertorié plus de 250 morts, plus de 200 blessés et autant de disparus.
Ravagée par un demi-siècle de conflit, la Colombie a accueilli avec un enthousiasme quasi unanime l’annonce de la venue du pape, du 6 au 10 septembre.
Le Bureau de presse du Saint-Siège a confirmé ce voyage pontifical vendredi 10 mars.
À partir du 1er mars, les guérilleros des Farc vont remettre leurs armes dans le cadre de l’accord de paix signé avec le gouvernement colombien.
Mardi 7 février marque le début des négociations de paix entre les guérilleros de l’ELN et le gouvernement. Si l’accord est signé, il mettrait fin à cinquante années de guerre intestine.
Après cinquante-deux ans de maquis, les guérilleros ont accompli leur « dernière marche » pour rejoindre les zones dites « de transition » où ils doivent déposer les armes.
Le gouvernement colombien et la deuxième guérilla active dans le pays se sont donné rendez-vous à Quito en Équateur le 7 février pour conclure une « paix complète », quelques mois après l’accord avec l’autre guérilla des Farc.
L’Église joue un rôle de médiateur dans des crises majeures en Colombie et au Venezuela. Sa capacité à peser n’est toutefois pas la même de part et d’autre de la frontière.
Alors que l’année se termine, La Croix a sélectionné les bonnes nouvelles, loin des crises et des guerres. Second volet : les belles surprises dans le monde.
Le pape François a placé la non-violence au cœur de son message pour la 50e journée mondiale de la paix qui sera célébrée dimanche 1er janvier. Dans un monde marqué par les conflits et la violence sous toutes ses formes, La Croix a choisi de montrer dix initiatives concrètes grâce auxquelles des hommes et des femmes refusent de se laisser gagner par elle.
L’enlèvement d’Ingrid Betancourt, en 2002, avait attiré l’attention sur ce fléau national en Colombie. Près de quinze ans plus tard, les chiffres indiquent une diminution spectaculaire.
Le commandant en chef des Farc (Forces armées révolutionnaires de Colombie) Timoleón Jiménez a envoyé mardi 20 décembre un message au pape François pour solliciter une audience au Vatican alors que le processus de paix est toujours en butte à une forte opposition.
Au terme d’un épisode rocambolesque, le prix Nobel de la paix Juan Manuel Santos et Alvaro Uribe, son prédécesseur et principal opposant au processus de paix, ont rencontré ensemble le pape vendredi 16 décembre.
Le président colombien reçoit le 10 décembre à Oslo le prix couronnant ses efforts en vue de mettre un terme à un demi-siècle de conflit. Malgré l’échec du référendum du 2 octobre, le chef de l’État a réussi à faire entériner un accord de paix modifié.
L’accord de paix, signé avec la guérilla des Farc en Colombie, a été ratifié par le Congrès. La Chambre des représentants l’ayant approuvé mercredi 30 novembre au soir, au lendemain du vote favorable du Sénat.
Un avion transportant une équipe brésilienne de football s’est écrasé lundi 28 novembre en Colombie, près de Medellin, faisant 75 morts. Six passagers, dont quatre des footballeurs, ont été retrouvés vivants.
Après le rejet par référendum d’un premier texte, le 2 octobre dernier, guérilla et gouvernement doit signer jeudi 24 novembre à Bogota un nouvel accord de paix.
Huit semaines après le rejet du document signé par le gouvernement et la guérilla des Farc, un nouveau texte est paraphé jeudi 24 novembre à Bogota, avant ratification par le parlement.
Six semaines après le rejet, par référendum, de l’accord de paix, le gouvernement colombien a rendu public un texte amendé. Des points controversés ont été renégociés, notamment en matière de justice, mais le camp du « non » ne s’est pas encore prononcé.
Début 2015, Ricardo a quitté la guérilla colombienne. À 26 ans, il aide aujourd’hui les rebelles à se réinsérer.
Bogota se retrouve à négocier sur deux fronts, l’un avec la guérilla des Farc, la plus importante rébellion du pays et celle de l’ELN, de moindre importance mais au pouvoir de nuisance toujours important.
La guérilla colombienne s’est félicitée vendredi 14 octobre de la décision du président Juan Manuel Santos, la veille, de prolonger le cessez-le-feu jusqu’à la fin de l’année.
De passage en France, Mgr Hector Fabio Henao, directeur de la Caritas Colombie, considère que l’échec récent du référendum sur l’accord de paix entre le gouvernement et les FARC est dû à « la peur » et au « manque d’information ». Saluant la reprise immédiate du dialogue entre les parties, Mgr Henao, très impliqué dans le processus de paix, évoque les points qui posent encore problème.
En dépit du référendum rejetant l’accord avec la guérilla des FARC, un processus de négociation s’engage enfin avec l’ELN, la dernière guérilla colombienne
En Colombie, les partisans de la paix espèrent que le prix décerné vendredi 7 octobre à leur président aidera à sortir de l’impasse provoquée par le « non » au référendum du 2 octobre.
Le prix Nobel de la paix 2016 a été attribué au président colombien vendredi 7 octobre. Une distinction qui vient récompenser son engagement pour la paix avec les Farc.
Le prix Nobel de la paix a été attribué vendredi 7 octobre au président colombien Juan Manuel Santos pour son action en faveur du processus de paix avec la guérilla marxiste des Farc.
Le président de la conférence des évêques de Colombie, Mgr Luis Castro, appelle à ne pas diviser les électeurs entre « bons » et « méchants ».
Mardi 4 octobre, après le « non » surprise au référendum sur l’accord signé entre le gouvernement et les Farc, le pays groggy s’interroge sur la façon de sauver le processus de paix. Explication en trois questions.
Opposé depuis 2012 à ces négociations de paix avec la guérilla des Farc, Alvaro Uribe est considéré par le président Santos comme un « ennemi de la paix ».
Avec 50,22 % des voix, le « non » l’a emporté dimanche 2 octobre en Colombie, à l’occasion du référendum sur l’accord signé le 26 septembre à Carthagène. Ce résultat surprise plonge le pays dans l’incertitude.
Le cœur du pays a voté contre l’accord de paix passé entre le gouvernement colombien et les Farc, à l’exception de Bogota, tandis que les régions périphériques ont voté généralement pour.
À une très courte majorité, le « non » est arrivé en tête du référendum, dimanche 2 octobre, portant sur la paix signée quelques jours plus tôt entre Bogota et la principale guérilla du pays.
Dimanche 2 octobre, les Colombiens doivent, par référendum, entériner ou rejeter, la paix signée par l’État avec les Farc. Si le oui l’emporte, les Farc entameront rapidement leur démobilisation.
Le président colombien a confirmé, jeudi 29 septembre, un voyage dont le pape avait dit, en juillet, avoir l’intention.
À l’approche du référendum du dimanche 2 octobre sur l’accord de paix entre le gouvernement et la guérilla des Farc, les partisans des deux camps ne ménagent pas leurs forces pour tenter d’arracher quelques voix. Le gouvernement assure que la guerre reprendrait en cas de victoire du « non ». Les Farc, quant à elles font savoir que, quel que soit le résultat du vote, la page de la lutte armée est tournée.
Toribio, village indigène au sud de Cali, a subi de plein fouet le conflit, jusqu’au cessez-le-feu unilatéral des Farc en 2015. Ses habitants espèrent que la paix apportera la justice et le développement économique, tout en redoutant que le départ de la guérilla ne profite à d’autres groupes armés.
La paix avec les Farc pourrait annoncer un processus identique avec l’autre groupe de guérilla de l’Eln toujours en activité et les paramilitaires
L’État colombien et les Farc, principale guérilla du pays, ont signé lundi 26 septembre un accord de paix mettant fin à plus de 50 ans de conflit. De nombreuses personnalités et chefs d’État ont assisté à cet événement historique.
Célébrant une liturgie de la Parole en marge de la signature de l’accord de paix, le secrétaire d’État du Saint-Siège a appelé tous les Colombiens à soutenir cet accord et à travailler pour surmonter les causes profondes du conflit
L’État colombien et les Farc, principale guérilla du pays, signent le 26 septembre un accord de paix mettant fin à plus de 50 ans de conflit. De nombreuses personnalités et chefs d’État assisteront à cet événement historique.
Le secrétaire d’État du Vatican se rendra en Colombie, le 26 septembre, pour assister à la signature de l’accord de paix historique entre le gouvernement et la guérilla des Farc.
La principale guérilla de Colombie a ouvert samedi 17 septembre sa dixième conférence, avant de déposer les armes.
Le Saint-Siège ne nommera cependant pas de représentant dans l’organe chargé de superviser les accords de paix.
Visa pour l’image (2/3) À l’occasion du 28e Festival international du photojournalisme de Perpignan, « La Croix » publie trois reportages sur des jeunes de différents pays. Aujourd’hui, « La génération du conflit : les enfants-soldats en Colombie » par Juan Arredondo.
À l’occasion de son exposition « La génération du conflit : les enfants-soldats en Colombie », et de la remise du Visa d’Or Humanitaire du CICR 2016, Juan Arredondo répond aux questions de La Croix
Le ministre de la Défense a annoncé, samedi 27 août, que le gouvernement et la guérilla marxiste signeraient l’accord de paix « entre le 20 et le 26 septembre ». Sur le terrain, le cessez-le-feu entre les deux partis doit entrer en vigueur lundi 29 août.
Le gouvernement colombien et la guérilla marxiste des Farc ont conclu un accord de paix historique mercredi 24 août à la Havane. Le texte sera soumis à l’approbation de la population par référendum le 2 octobre pour mettre fin à un conflit vieux de cinquante-deux ans.
Guillermo Giarratana est chercheur associé à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS) et spécialiste de géopolitique de l’Amérique latine et des enjeux humanitaires. Il estime que cet accord est une avancée majeure
Le gouvernement colombien et la guérilla des Farc ont annoncé mercredi 24 août à Cuba être parvenus à sceller un accord de paix historique, au terme de près de quatre ans d’âpres négociations vouées à mettre fin à 52 ans de guerre civile. Cet accord sera soumis par référendum au peuple colombien le 2 octobre 2016.
Le jésuite colombien Francisco De Roux, impliqué de longue date dans les pourparlers avec les guérillas, s’est proposé en échange de la libération d’un parlementaire retenu en otage depuis plusieurs mois. Ce geste montre à quel point l’Église de Colombie s’investit depuis des décennies pour ramener la paix dans ce pays ravagé par une guerre vieille d’un demi-siècle et qui a déjà fait 260 000 morts et des millions de déplacés.
Dans quelques semaines, la plus vieille guérilla du continent américain rendra les armes, à l’issue d’un processus de paix mené à Cuba, depuis quatre ans. Reportage dans un campement des Farc.
Le nouveau visage de la Colombie (5/5). Après un conflit de plus de cinquante ans, la paix ne se décrète pas. Il faudra beaucoup pardonner, tout en s’attaquant à d’autres défis, longtemps masqués par la guerre civile.
Le nouveau visage de la Colombie (4/5). Maire de Cali depuis le début de l’année, cet homme d’affaires de 71 ans a une priorité : l’éducation.
Le nouveau visage de la Colombie (4/5). Dans les années 1980 et 1990, le cartel de Cali était le rival de celui de Medellin, où régnait Pablo Escobar. La ville s’efforce de faire oublier cette page sombre.
« J’irai dormir chez vous » en Colombie, jeudi 21 juillet à 20h50 sur France 5
Le nouveau visage de la Colombie (3/5). Hier à l’écart des tournées internationales, la Colombie attire à nouveau les artistes étrangers. Et voit éclore en son sein des talents, reconnus hors des frontières.
Fin de la guérilla avec les FARC, décollage économique, violence en baisse… S’il lui reste de nombreux défis à relever, la Colombie est en train de se révéler, avec de solides arguments, bousculant les préjugés.
Le nouveau visage de la Colombie (1/5). Paix avec la guérilla, décollage économique, violence en baisse… Malgré de nombreux défis, le pays sud-américain redécouvre son potentiel, bien loin des clichés.
Le nouveau visage de la Colombie (2/5). Découragés hier par la violence, de plus en plus d’étrangers partent aujourd’hui à la découverte de la Colombie. Les scientifiques locaux aussi.
Une escarmouche annoncée dimanche 10 juillet est intervenue alors que le gouvernement et la guérilla approchent d’un accord de paix définitif.
Le président colombien Juan Manuel Santos a signé lundi le décret établissant le 4 juillet comme Journée nationale annuelle de la liberté religieuse et des cultes.
Après cinquante-deux ans de conflit, la Colombie a vécu jeudi 23 juin un jour historique, la guérilla des Farc acceptant de déposer les armes. Un accord de paix global devrait être signé prochainement, incluant notamment la question du trafic de drogue et le sort des auteurs des crimes les plus graves.
Un cessez-le-feu définitif entre la guérilla et le gouvernement colombien devrait être signé dans la soirée du 23 juin, après cinquante ans de conflit. Les Farc et les autorités ont trouvé un accord pour permettre le désarmement de la guérilla, sous supervision de l’ONU. Ce cessez-le-feu historique ouvre la voie à la signature prochaine de la paix, vraisemblablement autour du 20 juillet, jour de la fête nationale.
Un cessez-le-feu a été décidé en Colombie
La Fondation Cartier offre une belle surprise avec « Cali clair-obscur », première rétrospective européenne du trop méconnu Fernell Franco (1942-2006).
Les évêques des villes frontalières de San Cristobal et Cucuta se sont rencontrés pour proposer de jouer le rôle d’intermédiaires entre les deux pays.
Dans une lettre ouverte au pape, le chef des Farc avertit François de « graves dangers menaçant d’anéantir » le processus de paix
Le gouvernement colombien a annoncé la semaine dernière l’ouverture de négociations avec la deuxième guérilla du pays, l’Armée de Libération Nationale (ELN).
Si les négociations se prolongent entre gouvernement et guérilla des Farc, la date butoir fixée il y a six mois ne sera pas respectée.
À l’occasion de la campagne de Carême du CCFD-Terre solidaire, La Croix présente les actions de cinq de ses organisations partenaires dans le monde.
Le président colombien Juan Manuel Santos a ouvert la voie, mercredi 9 mars, à une signature différée de l’accord de paix, au-delà du 23 mars.
Pour Mgr Hector Fabio Henao, qui participe aux négociations de paix prévues pour s’achever le 23 mars, l’Église a un rôle essentiel à jouer.
Invité à Paris par le Pôle Amérique latine de la Conférence des évêques de France (CEF), Mgr Hector Fabio Henao Gaviria, directeur de la Caritas Colombie, participe aux négociations entre le gouvernement colombien et les Farc, qui doivent s’achever le 23 mars à La Havane.
Ce premier film colombien, récompensée de la Caméra d’Or à Cannes, évoque avec force et simplicité l’enfer d’une terre surexploitée.
Samedi est une journée de lutte contre le moustique responsable du virus en Amérique latine. La Colombie a fait état de trois morts. L’ONU a demandé aux pays touchés d’autoriser l’accès des femmes à la contraception et à l’IVG.
La trêve depuis six mois en vue d’un accord de paix permet aux habitants des régions touchées de revivre. Exemple dans le sud du pays où la population s’habitue déjà à vivre loin de la guerre.
Selon le président de la conférence épiscopale colombienne, qui a été reçu par le pape le 23 janvier, celui-ci visitera son pays début 2017
La guérilla et le gouvernement sont parvenus à un nouvel accord, demandant à l’ONU de superviser la fin du conflit. Les deux parties espèrent mettre un terme au plus vieux conflit d’Amérique latine d’ici à la fin mars.
Le président de l’épiscopat colombien rencontre samedi le pape pour évoquer un voyage que le pape pourrait effectuer en 2017.
Le gouvernement colombien a accepté que la conférence épiscopale serve de médiatrice avec la seconde guérilla du pays, inspirée par la théologie de la libération.
À La Havane, les représentants de l’État et de la guérilla sont parvenus à un accord sur le volet des victimes du conflit et de la justice. Cette nouvelle avancée confirme la bonne volonté des deux parties, avant le 23 mars 2016, date butoir fixée pour parvenir à la paix.
Dans un entretien accordé à la BBC vendredi 13 novembre, le président colombien Juan Manuel Santos a annoncé être sur le point de signer un décret légalisant cet usage. Cette décision s’inscrit dans une tendance générale partie des États-Unis, où un État sur deux a franchi le pas.
Après avoir conclu un accord en septembre un accord qui détermine comment seront jugés les responsables du conflit colombien, les négociateurs du gouvernement et de la guérilla des Farc se sont entendus sur la recherche des victimes disparues.
Le gouvernement colombien et la guérilla des Farc ont franchi mercredi 23 septembre une étape décisive vers la paix en annonçant un accord sur le sort judiciaire des combattants. C’est la première fois que le président colombien rencontrait le dirigeant des Farc. L’accord doit être signé dans les six prochains mois.
Le gouvernement colombien annonce un accord de paix avec les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) d’ici à mars 2016. Il a signé avec la guérilla marxiste, à Cuba, un accord qui fixe le sort que la justice colombienne va réserver aux guérilleros. Ce pas décisif permet aux négociations de paix d’entrer dans leur phase finale.
Auteur d’un ouvrage sur la paix et la justice en Colombie, la politologue Delphine Lecombe juge la réconciliation possible après plus d’un demi-siècle de conflit. Delphine Lecombe analyse la portée de l’accord annoncé le 24 septembre. Entretien.
L’homme qui a repris les rênes de la guérilla marxiste en 2011 s’est engagé mercredi 23 septembre à conclure un accord de paix d’ici six mois avec le président colombien Juan Manuel Santos.
Le chef de l’État sortant avait été réélu en 2014 à la tête de la Colombie en promettant de mener à bien les pourparlers de paix en cours avec la guérilla, active depuis 50 ans.
Depuis dix jours, une partie de la frontière entre la Colombie et le Venezuela est fermée. Plus d’un millier de Colombiens ont été expulsés du Venezuela.
Le président de la Conférence épiscopale colombienne, Mgr Luis Augusto Castro Quiroga, a fait cette révélation sur les ondes de la radio colombienne Wradio.
La délégation des Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC), rébellion marxiste, avait annoncé avoir formulé cette requête auprès du président de la Conférence épiscopale colombienne.
En réponse à un geste semblable de la guérilla des Farc, le président colombien a ordonné samedi 25 juillet la fin des bombardements aériens. Les deux parties avaient signé le 12 juillet dernier à La Havane un accord historique sur « la désescalade du conflit ».
LES COMBATS DES CITOYENS DU SUD (1/5) - Erwing Rodriguez-Salah, dentiste prospère, s’est battu contre l’ouverture d’une mine d’or qui menaçait l’eau de sa ville.
Le gouvernement colombien et la guérilla des Farc ont annoncé dimanche 12 juillet 2015 un accord pour une réduction des opérations de l’armée pour la première fois depuis l’ouverture de pourparlers de paix, à la fin 2012.
Réunis pour un Congrès de la vie consacrée, les membres de la Confédération des religieux et religieuses d’Amérique latine ont encouragé les négociations entre le gouvernement colombien et les Farc.
Le dialogue de paix ouvert en 2012 entre le gouvernement colombien et la guérilla des Farc avance pas à pas. Dernière avancée en date, la mise en place d’un organisme indépendant destiné à rechercher la vérité, promouvoir la cohabitation entre anciens ennemis afin d’éviter un retour du conflit.
LA COLOMBIE, PAYS ÉMERGENT (2/2) Si le café reste une valeur sûre de l’économie colombienne, l’industrie et les services sont devenus des relais essentiels de croissance. Seule ombre au tableau : la violence politique.
LA COLOMBIE, PAYS ÉMERGENT (1/2) Pour en finir avec sa mauvaise réputation, le pays a planté son pavillon au beau milieu de l’Exposition universelle de Milan. Et s’affiche, sans complexes, comme la puissance montante en Amérique latine.
Il y a quinze ans, la deuxième cité de Colombie figurait comme la capitale du crime, bastion du narcotrafic et des guérillas. « El Perro », 25 ans, artiste graffeur et enfant du barrio Comuna 13, raconte les transformations de Medellin.
Le nombre de déplacés de force à cause des conflits atteint le nombre record de 38 millions de personnes, selon le rapport de l’observatoire des situations de déplacements internes présenté mercredi 6 mai aux Nations unies à Genève.
Après une attaque des Farc qui a causé la mort de 10 soldats, le président colombien a annoncé la reprise des bombardements contre la guérilla, suspendus depuis plus d’un mois. Les négociations de paix vont néanmoins se poursuivre à La Havane.
DÉCRYPTAGE Ces hauts gradés font l’objet d’une enquête dans le cadre du lourd dossier des exécutions extrajudiciaires. Selon les associations de défense des droits de l’homme, l’armée aurait tué plusieurs milliers de civils entre 2002 et 2008, avant de les faire passer pour des guérilleros, un scandale connu sous le nom des « faux positifs ».
La guérilla colombienne s’est engagée, dans le cadre des négociations de paix en cours, à aider le pouvoir à retirer les mines antipersonnel qu’elle utilise pour se protéger. La Colombie est, après l’Afghanistan, le pays où ces explosifs font le plus de victimes.
Boko Haram au Nigéria, Daech au Moyen-Orient, les cartels de la drogue en Amérique latine… Pour la septième année consécutive, l’Aide à l’Eglise en Détresse (AED) organisait du 6 au 13 mars la « Nuit des Témoins », en présence de religieux venus de régions où la foi chrétienne ne se pratique pas librement.
Le président colombien Juan Manuel Santos a annoncé la suspension pendant un mois des bombardements contre la guérilla des Farc. Jamais le pays n’a envisagé avec autant de sérieux l’hypothèse de la disparition de la guérilla.
En visite lundi 26 et mardi 27 janvier à Paris, le président colombien Juan Manuel Santos espère signer un accord de coopération qui lui permettra d’importer le modèle des lycées agricoles français.
Les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) ont décidé de faire taire les armes sans limitation de temps. Le « cessez-le-feu unilatéral indéfini » proclamé le 18 décembre doit se transformer en armistice. Les victimes des Farc, qui témoignent lors des pourparlers de paix à Cuba, ont salué cette avancée.
Un nouveau cycle de pourparlers de paix aura lieu entre les 10 et 17 décembre en vue de la désescalade du conflit qui a fait 220 000 morts et 5,3 millions de déplacés en cinquante ans
La guérilla des Farc a relâché dimanche 30 novembre, trois personnes dont un général, enlevé il y a quinze jours.
La guérilla des Farc a libéré deux militaires mardi 25 novembre et devrait libérer un général retenu en captivité avant la fin de la semaine
Les Farc ont reconnu le 18 novembre avoir enlevé un général de l’armée colombienne, mais disent vouloir continuer le dialogue avec Bogota. Le processus de paix, engagé avec le gouvernement en novembre 2012 à La Havane, est suspendu depuis le 16 novembre.
Une nouvelle phase de pourparlers s’ouvre mardi 12 août à Cuba entre le gouvernement colombien et la guérilla des Farc. Elle va donner la parole aux victimes de ce conflit qui dure depuis 50 ans et a fait 220 000 morts (dont 80 % de civils)
Ce jeune député colombien s’est engagé en politique, reprenant le flambeau d’un père ministre, assassiné sur ordre de Pablo Escobar en 1984
À Maracaibo, les produits subventionnés et l’essence bon marché du Venezuela alimentent un juteux trafic vers la Colombie voisine.
Le chef de l’État sortant a été réélu à la tête de la Colombie en promettant de mener à bien les pourparlers de paix en cours avec la guérilla, active depuis 50 ans
Les Colombiens votent dimanche 15 juin au second tour de l’élection présidentielle, un scrutin qui met en jeu l’avenir du processus de paix en cours avec les guérillas d’extrême gauche dans un pays en proie à un demi-siècle de conflit armé.
Le président sortant Juan Manuel Santos briguera dimanche 15 juin un second mandat, au nom d’une paix possible en Colombie. Son adversaire, Oscar Zuluaga, est au coude à coude dans les sondages à l’approche du second tour. Ce challenger veut suspendre les discussions avec la guérilla et poser de nouvelles conditions.