Les Occidentaux font-ils le jeu de Bachar Al Assad en Syrie ? la réponse de Gérard Chaliand, spécialiste des questions stratégiques et du terrorisme (1).
Bachar Al Assad : dernières actus Page 2

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Gérard Chaliand : « Ils sont obligés de préférer Bachar Al Assad aux islamistes » -
Pas d’évacuation d’Alep Est malgré la trêve russe Les aviations russe et syrienne ont suspendu leurs bombardements jusqu’à samedi 22 octobre dans la soirée.
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À Alep, les bombardements continuent, le régime progresse Malgré l’indignation, les troupes de Damas, soutenues par Moscou, poursuivent leur offensive sur l’est de la ville, dont le principal hôpital a été frappé par des barils d’explosifs.
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À Alep, l’hôpital des quartiers rebelles visé par des explosifs La ville a connu de nouvelles violences samedi 1er octobre, plus d’une semaine après que l’armée syrienne a annoncé une large offensive pour reconquérir la partie rebelle. Alep est au centre d’un projet de résolution française que les cinq pays membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU ont commencé à examiner vendredi 30 septembre.
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L’armée syrienne cherche à reconquérir la totalité d’Alep L’armée syrienne, appuyée par les Russes, intensifie ses attaques pour reprendre la partie est de la ville d’Alep.
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François Fillon : « Je ne revendique pas le titre de candidat des catholiques » François Fillon, ancien premier ministre et candidat à la primaire de la droite et du centre, était l’invité de « Face aux Chrétiens » le jeudi 22 septembre, en partenariat avec La Croix, KTO, Radio Notre-Dame et RCF. Principaux extraits.
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Les positions bougent sur le terrain diplomatique syrien Pour la première fois, Damas a utilisé son aviation contre les Kurdes à Hassaké, au nord-est de la Syrie. Moscou tempère, Washington menace et Ankara se félicite.
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Amnesty International dénonce « l’enfer des prisons syriennes » Dans un rapport paru le jeudi 18 août, l’ONG Amnesty International dénonce des actes de tortures et des « traitements inhumains » dans les prisons syriennes.
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Dans Alep assiégée, la vie en pointillé Lassés par les promesses de trêves et de couloirs humanitaires, 1,3 million d’habitants encerclés dans les secteurs est et ouest de la ville – épicentre des combats opposant le régime aux rebelles – essayent de pallier leurs difficultés quotidiennes.
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En Syrie, le régime tente d’éviter d’être assiégé à Alep Les troupes gouvernementales cherchent à éviter l’encerclement total des quartiers sous leur contrôle dans la deuxième ville du pays, après y avoir subi un grave revers de la coalition rebelle.
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200 000 personnes assiégées dans les quartiers est d’Alep L’armée syrienne a refermé, dimanche 17 juillet, l’étau sur les quartiers est d’Alep contrôlés par les rebelles. D’après l’ONU, 200 000 civils seraient pris au piège dans ce fief de l’opposition où les groupes armés ne peuvent plus acheminer renforts et ravitaillement.
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La bataille d’Alep fragilise les pourparlers sur la Syrie Les forces du régime de Damas et une coalition de rebelles se livrent depuis le 10 avril à une violente bataille pour le contrôle de la capitale économique du pays. Ces affrontements surviennent alors que le troisième round de négociations pour la paix a repris le 13 avril à Genève.
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Syrie : tensions à la veille de la reprise des négociations Le troisième round des pourparlers sur la Syrie doit reprendre mercredi 13 avril à Genève. Il sera consacré au gouvernement de transition avec ou sans Bachar Al Assad.
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L’armée syrienne a repris Palmyre Dimanche matin, l’armée de Bachard al-Assad a annoncé la reprise totale de la cité antique après en avoir chassé les djihadistes, avec le soutien de l’armée russe. Une victoire stratégique qui permettrait à l’armée syrienne d’avancer vers la frontière de l’Irak.
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Le sort de Bachar Al Assad entre les mains des Russes Le secrétaire d’État américain John Kerry et le président russe, Vladimir Poutine discutaient à Moscou le 24 mars du sort de Bachar Al Assad. Le pouvoir de ce dernier, qui repose essentiellement sur le clan familial, a éclaté avec l’intervention des Russes et des Iraniens.
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Soulager les zones assiégées en Syrie Le gouvernement syrien a donné son accord à l’envoi de convois humanitaires pour venir en aide aux populations des villes assiégées, alors que les combats continuent dans le pays.
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En Syrie, les intérêts contradictoires des acteurs Une « cessation des hostilités » devrait intervenir dans la nuit de jeudi 18 à vendredi 19 février en Syrie, mais l’intensification des combats sur le terrain ces derniers jours, éloigne cette perspective. La multiplication des acteurs régionaux et leurs objectifs compliquent les tentatives de résolution de ce conflit.
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« En Syrie, l’instabilité profite aux djihadistes » ENTRETIEN avec Thomas Pierret maître de conférences à l’Université d’Édimbourg Ce spécialiste de la Syrie revient sur l’accord conclu dans la nuit de jeudi 11 février à vendredi 12 février à Munich entre les États-Unis et la Russie pour une cessation des hostilités en Syrie.
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En Syrie, la Russie mène la danse Le régime de Bachar al Assad, grâce à ses alliés russes et iraniens, a consolidé ses positions sur le terrain. Inquiets des risques de déstabilisation engendrés par ce conflit, les Occidentaux semblent se ranger à cette nouvelle réalité.
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Les réfugiés syriens bloqués à la frontière turque La Turquie a annoncé être prête à ouvrir ses frontières aux milliers de Syriens qui patientaient le 7 février dans le froid après avoir fui l’offensive des troupes du régime de Damas à Alep.
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En Syrie, la bataille pour la reprise d’Alep a commencé Les forces du régime, aidées par les bombardements russes, se dirigent vers Alep où les rebelles pourraient se retrouver encerclés. Plus de 40 000 civils fuient en direction du nord de la province.
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L’opposition syrienne va participer aux discussions de paix de Genève Le HCN refusait jusqu’alors de participer aux discussions ouvertes par l’ONU tant que les bombardements de civils et le siège de localités syriennes se poursuivraient.
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En Syrie, les combats s’intensifient, les lignes bougent Des combats dans l’est du pays, ont fait un grand nombre de victimes les 16 et 17 janvier. Dans la banlieue de Deir Ez-Zor, 400 civils ont été enlevés par Daech. Les négociations sur la Syrie entre le régime et l’opposition devraient reprendre le 25 janvier à Genève.
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Madaya, une ville assiégée et affamée Les partisans de Damas encerclent cette ville à majorité sunnite, proche du Liban, depuis septembre 2015. Les premiers camions de vivres ont pu pénétrer dans la ville affamée, encerclée par les troupes gouvernementales.
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Que faire pour Madaya affamée ? Les premiers camions de vivres ont pu pénétrer dans la ville affamée, encerclée par les troupes gouvernementales.
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Que faire pour Madaya affamée ? Les premiers camions de vivres ont pu pénétrer dans la ville affamée, encerclée par les troupes gouvernementales.
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Damas prêt à des pourparlers avec l’opposition fin janvier Le régime syrien a assuré qu’il participerait aux négociations prévues fin janvier par la feuille de route vers une solution politique signée le 19 décembre. Reste à savoir qui sera autour de la table alors que Damas qualifie de « terroristes » tous les groupes qui ont pris les armes contre Bachar Al Assad, qu’ils soient rebelles ou djihadistes. Sur le terrain, les combats continuent à faire de nombreuses victimes.
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Damas prêt à participer à des pourparlers avec l’opposition syrienne fin janvier Le régime de Bachar al Assad attend de savoir quels groupes de l’opposition y seront conviés, Damas considérant la plupart d’entre eux comme des « terroristes ».
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Faut-il se rapprocher de Bachar Al Assad ? Dans son discours devant le Congrès lundi, François Hollande a abandonné le « ni, ni » formel (Ni Assad, ni État islamique), défendu longtemps par la diplomatie française.
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Contre Daech, créer une vraie coalition politique Désormais, le sort de Bachar Al Assad passe au second plan et la France envisage de s’allier avec la Russie, principal soutien du régime de Damas avec l’Iran.
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Pour Fabrice Balanche, la France est forcée de faire avec Bachar Selon le chercheur au Washington Institute (États-Unis), la participation de la France à la coalition militaire avec les Russes et les États-Unis peut lui permettre de peser dans les négociations sur un règlement en Syrie.
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Salam Kawakibi : « Bachar al Assad est un homme faible qui ne possède aucun atout dans son jeu » Le directeur adjoint de l’Initiative arabe de réforme insiste sur la responsabilité historique du dirigeant syrien. Il estime que la Russie peut accepter son retrait à terme.
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A Vienne, accord et désaccord sur la Syrie La rencontre internationale sur la Syrie, vendredi 30 octobre à Vienne, a achoppé sur le sort du président Bachar Al Assad. Les discussions ont cependant abouti à un accord général sur la marche à suivre.
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Une réunion quadripartite inédite sur la Syrie Les ministres des Affaires étrangères américain, russe, turc et saoudien se retrouvent à Vienne pour travailler sur la question syrienne.
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Jusqu’où les Russes iront-ils dans leur soutien à Bachar Al Assad ? Bachar Al Assad a effectué mardi 20 octobre une visite à Moscou. C’était sa première sortie de Syrie depuis le début du conflit. Il a remercié Vladimir Poutine pour son engagement militaire. Cette visite intervient alors que la campagne de raids aériens de l’aviation russe entre dans sa quatrième semaine. Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme, 100 000 personnes fuyaient ce même mardi l’offensive de l’armée syrienne dans les provinces de Hama, Alep et Lattaquié. LE POINT DE VUE de Haoues Seniguer, maître de conférences à l’IEP de Lyon et chercheur au laboratoire Triangle - Action, discours, pensée politique et économique.
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Bachar Al Assad a rencontré Vladimir Poutine à Moscou Le président syrien a quitté son pays pour la première fois depuis le début de la guerre civile en 2011.
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« La Russie veut démontrer qu’elle est nécessaire » Spécialiste des questions stratégiques et de sécurité, Dominique David, conseiller du président de l’Ifri et rédacteur en chef de Politique étrangère, décrypte les ressorts de l’intervention russe en Syrie. Pour lui, cet engagement militaire a un objectif politique et diplomatique.
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Poutine rebat les cartes au Moyen-Orient -
Un déluge de feu russe en Syrie Lancées le 30 septembre, les opérations militaires russes vont encore s’intensifier, a annoncé mercredi 8 octobre le président Poutine. Moscou a utilisé pour la première fois des missiles de croisière lancés depuis sa flotte en Mer Caspienne.
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Angela Merkel veut impliquer Bachar al-Assad dans la recherche d’une solution en Syrie La chancelière allemande Angela Merkel plaide pour un dialogue avec le président syrien Bachar Al Assad. Les pays occidentaux envisagent le maintien au pouvoir du président syrien pour une période de transition.
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Le Conseil de sécurité de l’ONU unanime sur la Syrie Lundi 17 août, à New York, le Conseil de sécurité de l’ONU a « exhorté » les parties syriennes à négocier une « transition ». La Russie n’a pas posé son veto.
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Des militants syriens quittent la coalition de l’opposition Les Comités locaux de coordination, qui transmettent des informations sur le conflit civil et administrent les zones « libérées » syriennes depuis son éclatement en 2011, tournent le dos à une opposition plus que jamais divisée.
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Nouvelle donne dans la guerre syrienne La reconnaissance par Bachar Al Assad de la faiblesse de son armée ainsi que les bombardements de la Turquie contre Daech et contre les positions du PKK au Kurdistan d’Irak, augurent une nouvelle donne dans cette région. Damas veut sécuriser une partie de son territoire et Ankara entend établir une zone d’exclusion aérienne dans le nord de la Syrie.
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Des opposants syriens prônent une solution politique Réunis au Caire, une centaine de membres de l’opposition extérieure et intérieure ont rédigé une feuille de route pour mettre fin au conflit. Ils demandent l’arrêt du soutien aux groupes armés et le départ des combattants étrangers.
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En Syrie, l’armée passe à l’offensive contre Lattaquié Ayant essuyé plusieurs défaites ces dernières semaines, les forces loyalistes cherchent à protéger la ville, fief de Bachar Al Assad, d’une éventuelle attaque des forces rebelles.
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Sur la Toile, des photos rendent leur humanité aux civils syriens Sur la page Facebook « Humans of Syria », des photographes immortalisent le quotidien des civils de quartiers assiégés. Le but est de redonner un visage au peuple syrien, de rappeler qu’au-delà des bombes et des combats, des êtres humains continuent à vivre, aussi péniblement que ce soit. Souvent empreintes de gravité, les citations des habitants rappellent la difficulté d’accomplir sous le siège les tâches les plus simples du quotidien.
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Les rebelles syriens marquent des points contre le régime La prise de la ville de Jisr al-Choughour par les rebelles syriens, samedi 25 avril, ouvre une route vers Lattaquié, fief de Bachar Al Assad. Mais l’aviation militaire multiplie les raids.
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Syrie, la fin du « ni-ni » Les États-Unis envisagent de négocier avec Bachar Al Assad.
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L’incontournable Bachar Al Assad Au bout de quinze ans de présidence et quatre années de guerre civile, Bachar al Assad est à la tête d’une Syrie en ruines. Après l’avoir boycotté, la communauté internationale commence à considérer qu’il faudra négocier avec lui, comme l’a déclaré le 15 mars le chef de la diplomatie américaine John Kerry. Sa vie en sept dates clés.
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Washington prêt à négocier avec Bachar Al Assad En déclarant que Washington devrait négocier avec le président Bachar Al Assad pour mettre fin au conflit en Syrie, le secrétaire d’État américain, John Kerry, a déclenché une tempête diplomatique. Londres et Paris ont protesté, et le département d’État américain a calmé le jeu, indiquant qu’il ne s’agissait pas d’un changement de stratégie. Alors que la guerre civile entre dans sa cinquième année, la Syrie est exsangue.
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Comment faire cesser la guerre en Syrie ? Alors que Daech est devenu l’ennemi numéro un des Occidentaux, ceux-ci redoutent un effondrement du régime syrien qui pourrait aggraver le chaos, comme en Irak ou en Libye. Moscou et l’ONU ont lancé des initiatives pour tenter de trouver une solution politique ou humanitaire en Syrie, mais le chemin vers la paix semble encore bien loin.
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La délicate visite de quatre élus français à Damas Quatre sénateurs et députés français ont défié la diplomatie française en se rendant à Damas et en rencontrant Bachar Al Assad. Notre envoyée spéciale a suivi leur périple, un marathon de 36 heures.
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Des parlementaires français rencontrent Bachar Al Assad Deux députés et deux sénateurs étaient dans la capitale syrienne mardi 24 et mercredi 25 février à titre privé. Ils estiment qu’une solution doit être trouvée à la guerre qui alimente la menace terroriste de Daech sur la région et l’Europe. Cette visite, qui va à l’encontre de la politique étrangère de Paris, provoque des remous en France.
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Les négociations de paix pour la Syrie partent sur de mauvaises bases Contrairement à ce que souhaitait l’ONU, les émissaires du président Al Assad et les membres de l’opposition ne seront pas dans la même pièce au premier jour des négociations à Genève
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Bachar Al Assad a fait parvenir un message au pape -
Près de la moitié des rebelles syriens sont des islamistes extrémistes Selon une étude britannique du cabinet de consultants IHS Jane’s, l’opposition armée compterait 100 000 combattants fragmentés en près d’un millier de groupes. De fortes rivalités parcourent les groupes djihadistes entre eux.
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Les combats font rage en Syrie dans la ville rebelle de Qousseir Au moins 55 personnes et 23 membres d’élite du Hezbollah libanais ont été tués dimanche 19 mai dans les combats à Qousseir. L’armée syrienne a affirmé le 19 mai contrôler le cœur de cette ville stratégique, longtemps place forte des rebelles dans le centre du pays.
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Opérations humanitaires clandestines pour les Syriens Notre journaliste a passé dix jours dans les territoires contrôlés par l’Armée syrienne libre, entre Alep et la frontière turque. Il raconte les programmes clandestins des travailleurs humanitaires.
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Syrie: des salafistes en première ligne Notre envoyé spécial a passé dix jours dans les territoires contrôlés par l’Armée syrienne libre, entre Alep et la frontière turque. Il analyse le rôle du groupe de combattants islamistes Jabhat Al-Nusra qui se battent parmi les troupes rebelles.
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Au Liban, colère contre la Syrie après l’attentat de Beyrouth L’enterrement, dimanche 21 octobre, du général Wissam Al Hassan, victime d’un attentat vendredi 19 octobre à Beyrouth qui a tué trois personnes, a déchaîné la colère au Liban. La Syrie est accusée d’être le commanditaire de l’assassinat, le mouvement Hezbollah l’exécutant, et le gouvernement libanais est taxé de faiblesse, voire de complicité.
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Un ministre syrien évoque un possible départ de Bachar el-Assad Le ministre syrien a annoncé mardi 21 août pour la première fois que le régime était prêt à discuter d'un départ du président Bachar al-Assad dans le cadre de négociations avec l'opposition. Les rebelles ont répondu, depuis l'Élysée où ils étaient reçus le même jour, que ce départ n'était pas négociable. Les combats font toujours rage dans le pays, surtout dans la ville stratégique d'Alep, dans le nord, où soldats et rebelles ont chacun affirmé avoir gagné du terrain.
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Des opposants syriens divisés sur la transition politique L’armée syrienne libre (ASL) réclame qu’un « conseil supérieur de défense » soit formé avec des chefs militaires. L’opposition en exil veut, elle, un gouvernement civil à base élargie.
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Les rebelles syriens accusent le pouvoir de déplacer des armes chimiques Les rebelles syriens ont accusé le régime d'avoir transféré des armes chimiques près des frontières du pays au lendemain de la menace de Damas de s'en servir en cas «d'agression extérieure». Huit détenus ont été tués dans la nuit de lundi 23 à mardi 24 juillet dans la répression d'une mutinerie dans la prison centrale d'Alep (nord), a affirmé l'opposition syrienne dans un communiqué .
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La Ligue arabe presse le président syrien de renoncer au pouvoir Les pays de la Ligue Arabe, réunis dimanche 22 juillet à Doha pour discuter de la situation en Syrie, pressent Bachar al-Assad de quitter rapidement le pouvoir, en échange d’une sortie « sûre » pour le dirigeant syrien et sa famille. Ils appellent également l’opposition et l’armée syrienne libre (ALS) à former un gouvernement de transition, rassemblant les forces de l’opposition en Syrie et à l’étranger. Ils demandent à l’ONU de modifier le mandat de Kofi Annan dans le sens de cette initiative diplomatique et de convoquer une réunion extraordinaire de l’Assemblée Générale pour instaurer des zones de sécurité et des couloirs humanitaires en Syrie. Parallèlement, le premier ministre du Qatar et le secrétaire général de la Ligue arabe Nabil al-Arabi se rendront à Moscou et à Pékin, opposés aux sanctions contre le régime syrien, pour présenter leur plan de sortie de crise. Les ministres ont également décidé d’allouer, par le truchement de la Ligue arabe, une aide de 100 millions de dollars aux réfugiés syriens. Les réunions de la Ligue arabe se sont tenues alors que l’armée syrienne, appuyée par des chars, a lancé dimanche 22 juillet des offensives pour reprendre des quartiers de Damas et d’Alep (nord) au lendemain de succès des rebelles en Syrie.
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Face à la violence des combats, les Syriens fuient en masse leur pays La rébellion syrienne a annoncé dimanche 22 juillet le début de «la bataille de libération» d'Alep, deuxième ville de Syrie où un nouveau front s'est ouvert vendredi, et s'est engagée à y protéger les minorités, notamment chrétiennes et alaouites. Des affrontements ont opposé samedi 21 juillet l’armée syrienne aux rebelles à Alep, deuxième ville de Syrie, où un nouveau front a été ouvert après le déclenchement des combats à Damas où les forces régulières semblent avoir repris la main.
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Haytham Manna: «On n’a aucune preuve tangible sur l’attentat de Damas» Selon Haytham Manna, membre de l’opposition syrienne et responsable à l’étranger du Comité national de coordination pour le changement démocratique (CNCD), l’attentat qui a tué de hauts responsables de la sécurité, membres du cercle rapproché du président Bachar Al Assad, est peut-être un règlement de comptes entre factions du pouvoir syrien.
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Un ami proche de Bachar Al Assad se réfugie à Paris Issu d’une famille proche des dirigeants syriens, Manaf Tlass est tombé en disgrâce. Cet ancien général, qui fut l’un des piliers du régime, a confirmé avoir fui la Syrie et se trouver à Paris.
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Le régime de Bachar Al Assad frappé au cœur par un attentat-suicide Le beau-frère du président syrien et le ministre de la défense ont été tués, lorsqu’un kamikaze a actionné sa ceinture d’explosifs dans un bâtiment de la Sécurité nationale, à Damas. Quelques heures après l’attentat, Bachar Al Assad a nommé un nouveau ministre de la défense, l’actuel chef d’état-major Fahd al-Freij.
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« Cet attentat est surtout symbolique » Entretien avec Thomas Pierret, spécialiste de l’islam et de la Syrie à l’université d’Edimbourg
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Plus d’un an de révolte et de répression sanglante -
Le pouvoir syrien se sait désormais « vulnérable » Un attentat a frappé les principaux responsables de la sécurité du régime syrien. Le bureau de la sécurité nationale, où l’attentat a été commis, est à 200 mètres, à vol d’oiseau, du bureau du chef de l’État. Le pouvoir fait face à des combattants de l’ombre qui mènent des opérations de guérilla.
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En Syrie, plus de 150 personnes massacrées dans le centre du pays Au moins 150 personnes ont été tuées jeudi 12 juillet à Treimsa, dans le centre de la Syrie, d’après l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH). L’ONG assure que les hommes du président syrien Bachar Al Assad sont à l’origine de ce massacre, tandis que le régime de Damas en a fait porter la responsabilité aux « groupes terroristes » et aux « médias assoiffés de sang ». Devant ce nouveau massacre, l’opposition syrienne a pressé le Conseil de sécurité de l’ONU d’adopter une résolution contraignante à l’encontre du régime de Bachar Al Assad, laquelle permettrait l’usage de la force en Syrie. Un tel projet rencontre l’opposition de la Chine et de la Russie, toutes deux membres du Conseil de sécurité. De leurs côtés, les Frères musulmans, membres de l’opposition syrienne exilée, ont accusé l’émissaire international Kofi Annan, mais aussi l’Iran et la Russie, deux alliés du régime, d’être « responsables », par leur inaction, de cette tuerie.
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Le régime de Bachar Al Assad érige la torture en politique d’État L’ONG des droits de l’homme Human Rights Watch dénonce la torture, les arrestations arbitraires et les disparitions en Syrie depuis mai 2011. HRW a identifié l’existence de 27 centres de détention et de torture à travers le pays.
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La Syrie accepte l'entrée d'humanitaires sur son territoire La Russie, sous la pression des occidentaux pour lâcher son allié syrien, a fait savoir qu'elle ne considérait pas le maintien au pouvoir du président Bachar al-Assad comme une condition préalable au règlement du conflit en Syrie. Mardi 5 juin, le régime a fait savoir qu'il autorisait l'entrée de l'aide humanitaire sur son territoire.
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Damas fait fi du plan Annan Contrairement aux engagements de retrait des villes de l’armée syrienne avant mardi 10 avril au matin, les combats se sont intensifiés tout au long du week-end, faisant plus de 190 morts dans le pays. Les nouvelles exigences du régime de Bachar Al Assad mettent à mal la mise en œuvre du plan de paix proposé par Kofi Annan.
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Le plan de paix en Syrie proposé par Kofi Annan reçoit le soutien de la Chine Kofi Annan, émissaire de l'ONU et de la Ligue arabe pour la Syrie, a souligné, mardi 27 mars, à Pékin, lors d'un entretien avec le Premier ministre chinois Wen Jiabao, avoir « besoin de l'aide » de la Chine pour résoudre cette crise. « Je ne peux pas faire ce travail tout seul, j'ai besoin d'aide et de soutien, et de soutien et de conseils de pays comme le vôtre et c'est pourquoi je suis ici » dans la capitale chinoise, a-t-il déclaré. La Chine qui soutient le plan de paix proposé par Kofi Annan, a appelé mardi 27 mars « toutes les parties en Syrie à participer aux efforts de médiation » de l'émissaire de l'ONU et de la Ligue arabe Kofi Annan. Celui-ci avait auparavant obtenu à Moscou l'appui du président russe Dmitri Medvedev. Les deux capitales ont opposé leur veto à deux résolutions du Conseil de sécurité de l'Onu condamnant la répression en Syrie mais elles ont voté une déclaration (forme moins contraignante que la résolution) appelant à la fin des violences et exhortant Bachar al-Assad et ses opposants à « appliquer immédiatement » le plan Annan.
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Le Conseil de sécurité de l'ONU appelle la Syrie à arrêter les violences Le Conseil de sécurité de l'ONU a appelé, mercredi 21 mars, dans une déclaration, la Syrie à mettre en oeuvre les propositions du médiateur Kofi Annan au moment où de nouvelles opérations militaires étaient menées pour écraser la révolte, notamment autour de Homs.
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Le régime syrien écrase la résistance à Idleb Un an après le début de la révolte populaire en Syrie, le président syrien Bachar al-Assad a annoncé mardi 13 mars la tenue d'élections législatives le 7 mai alors que son armée poursuit la répression contre les rebelles et a pris le contrôle de la ville d' Idleb.
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Kofi Annan, émissaire international en Syrie, se dit «optimiste» malgré sa mission «difficile» L'ancien secrétaire général de l'Onu s'est dit « optimiste » dimanche 11 mars après son second entretien avec le président Bachar el-Assad, tout en reconnaissant la difficulté de sa mission de paix au moment où l'armée menait une offensive meurtrière contre la province rebelle d'Idleb.
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L’armée syrienne tente de donner l’assaut final sur Homs L’armée syrienne bombardait mercredi 29 février pour la 25e journée consécutive la ville de Homs. La journaliste française Édith Bouvier n’avait toujours pas pu être exfiltrée dans la journée de Syrie. L’opposition ne fait pas confiance au Croissant-Rouge qu’elle accuse d’être infiltré par le régime.
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L'Union européenne adopte un douzième train de sanctions contre la Syrie Les pays de l'Union européenne ont adopté lundi 27 février, lors d'un conseil des ministres des affaires étrangères européens, un nouveau train de sanctions contre la Syrie, visant à restreindre un peu plus les voies de financement de régime. Ces nouvelles mesures comprennent principalement un gel des biens de la Banque centrale syrienne en Europe, une interdiction du commerce de métaux précieux comme l'or réalisé par le pays et un embargo sur les vols fret opérés par la Syrie, qui ne pourront donc plus atterrir sur le territoire européen. En outre, sept nouvelles personnes vont être ajoutées à une liste de près de 150 personnes et organisations ou entreprises faisant l'objet d'interdictions de visa en Europe et de gels d'avoirs. Leurs noms seront publiés mardi 28 février. Il s'agit du douzième train de sanctions européennes pour protester contre les violences qui ont fait 7 600 morts, en grande majorité des civils, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme. Il faut « maintenir la pression parce que malheureusement le régime persiste dans sa répression », a jugé le ministre français des aAffaires étrangères, Alain Juppé. Par ailleurs, celui-ci a indiqué que « nous sommes en train de déployer tous les efforts pour faire évacuer les journalistes qui sont piégés à Homs. Nous sommes en contacts avec les autorités syriennes que nous tenons pour responsables du sort de nos ressortissants, mais aussi avec le Croissant rouge et nous espérons que nos efforts vont aboutir ».
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En Syrie, les forces de l’ordre assiègent Homs Les chars de l’armée syrienne ont assiégé, vendredi 10 février au matin, Inchaat, un quartier rebelle de la ville de Homs, cible de bombardements intenses depuis une semaine. Les soldats fidèles au régime de Bachar Al Assad ratissaient le secteur maison par maison, selon les militants. Au même moment, la télévision d’État annonçait que «deux explosions terroristes» contre un bâtiment de la sécurité militaire et un siège des forces de l’ordre avaient fait plusieurs morts et blessés à Alep, la capitale économique du pays. Le chef de l’ONU Ban Ki-moon a annoncé que la Ligue arabe allait renvoyer sa mission d’observateurs, pourtant controversée, en Syrie. Des réunions arabes sont prévues dimanche au Caire.
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La menace s’accroît-elle sur le pouvoir à Damas ? Depuis jeudi 26 janvier, l’armée syrienne mène une offensive contre Douma et les localités voisines de la capitale, théâtres d’affrontements avec des soldats déserteurs. Elle est entrée à Rankous, à 40 km au nord de Damas, qu’elle encerclait depuis six jours. Par ailleurs, le fondateur de la première unité des militaires dissidents, l’officier Hussein Harmouche, a été tué la semaine dernière par les services de renseignement de l’air, a rapporté la Ligue syrienne des droits de l’homme (LSDH). Le ministre français des affaires étrangères Alain Juppé se rend mardi 31 janvier à New York pour « convaincre le Conseil de sécurité de prendre toutes ses responsabilités face à l’aggravation des crimes contre l’humanité commis par le régime syrien ». Michel Kilo, opposant syrien historique, réfugié aujourd’hui à Paris, revient sur la situation dans le pays.
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En Syrie, les violences se rapprochent de Damas Des violences d'une intensité sans précédent ont gagné dimanche 29 janvier plusieurs villes proches de Damas alors que la Ligue arabe, dont la mission d'observation a été suspendue en raison de l'escalade de violences, appelle l'ONU à l'aide pour mettre fin à plus de dix mois de répression sanglante.
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Un journaliste français tué lors d'une explosion en Syrie Gilles Jacquier, grand reporter à France 2, a été tué mercredi 11 janvier à Homs, dans le centre de la Syrie, par un obus tombé sur un groupe de journalistes qui se trouvait en reportage dans cette ville. Il y a également plusieurs blessés dans le groupe mais leur nombre n'a pu être précisé. L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) a précisé de son côté que six Syriens avaient été tués dans le même incident.
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Alain Juppé dénonce "la violence" et le "déni de réalité" de Bachar Al Assad Le président syrien Bachar Al Assad "incite à la violence" par ses discours, a estimé mardi 10 janvier, le chef de la diplomatie française, Alain Juppé, condamnant également "vigoureusement" les attaques contre des observateurs de la Ligue arabe en Syrie qui doivent être "protégés".
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Bachar Al Assad promet un référendum sur une nouvelle constitution en mars Le président syrien Bachar Al Assad, dont le régime est contesté par la rue depuis dix mois, a estimé mardi 10 janvier que son pays faisait l’objet d’un « complot étranger » et a promis d’y répondre. Il a également annoncé la tenue d’un référendum populaire sur une nouvelle constitution en mars. La Ligue arabe a, de son côté, dénoncé des attaques contre ses observateurs dans le pays.
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Les observateurs en Syrie confrontés à d'importantes manifestations De nouvelles manifestations ont eu lieu vendredi 30 décembre dans plusieurs villes du pays, à l’appel des militants pro-démocratie. Malgré la présence des observateurs de la Ligue arabe, la répression ne faiblit pas.
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Les observateurs à Homs n’ont pas pu « apprécier la réalité » selon Paris Le ministère français des affaires étrangères a affirmé mercredi 28 décembre que les observateurs de la Ligue arabe en Syrie étaient restés trop peu de temps à Homs, bastion de la révolte contre le régime syrien, pour pouvoir « apprécier la réalité de la situation ». Au même moment, les autorités syriennes ont libéré 755 prisonniers, une des mesures du plan de sortie de crise proposée par la Ligue arabe.
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En Syrie, l’offensive contre la ville de Homs se poursuit Des observateurs de la Ligue arabe sont arrivés à Damas, dans le cadre d’un plan de sortie de crise. La mission est dirigée par le général soudanais Ahmed Moustapha Al Dabi.
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La Syrie accepte de coopérer avec la Ligue arabe La Syrie a autorisé lundi 19 décembre la venue d’observateurs de la Ligue arabe sur son territoire, afin d’évaluer la situation et de mettre fin à neuf mois de répression. Cette mesure fait partie d’un plan de sortie de crise en Syrie que Damas avait déjà accepté « sans réserves » sans jamais pour autant le ratifier ni l’appliquer. Le vice-ministre syrien des affaires étrangères Fayçal al-Maqdad, a signé lundi 19 décembre au Caire un protocole pour la protection des civils. Le secrétaire général de la Ligue arabe Nabil al-Arabi a annoncé qu’une première délégation d’observateurs se rendrait en éclaireur à Damas sous trois jours. Dirigée par Samir Seif al-Yazal, assistant du secrétaire général, elle est « composée d’observateurs de la sécurité, du droit et de l’administration », a déclaré le secrétaire général de la Ligue, précisant que des équipes incluant des experts des droits de l’Homme suivraient. Il a également ajouté que « le protocole stipule que les observateurs puissent accéder aux points chauds mais pas aux points militaires sensibles ». À Damas, le chef de la diplomatie syrienne Walid Mouallem a salué cette signature, assurant que les observateurs de la Ligue arabe étaient « les bienvenus » en Syrie, « leur seconde patrie ». « De nombreux pays dans le monde ne veulent pas reconnaître la présence de groupes terroristes armés en Syrie. Ils vont venir et ils vont voir qu’ils sont présents. Nous ne devons absolument pas avoir peur », a réagi Walid Mouallem, ajoutant que « cet accord sera renouvelé dans un mois si les deux parties en sont d’accord ».
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La répression en Syrie a fait plus de 5 000 morts selon l'ONU La répression en Syrie a fait « plus de 5 000 morts », a affirmé lundi 12 décembre la haut commissaire aux droits de l'homme de l'ONU Navi Pillay, s'en prenant devant le Conseil de sécurité des Nations unies à l'inaction de la communauté internationale. L'ambassadeur de France à l'ONU a jugé le Conseil de sécurité, « moralement responsable de ce qui se passe aujourd'hui en Syrie ». Une opinion partagée par un certain nombre de membres du Conseil qui bute toujours sur un veto russe ou chinois.
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La grève générale en Syrie accroît la pression sur le régime Les commerces sont restés fermés et les rues désertes dans plusieurs régions de la Syrie, dimanche 11 décembre, en réponse à un appel de l'opposition. Elle entame ainsi une vaste campagne de désobéissance civile contre le régime de Bachar el Assad qui doit se poursuivre sous d'autres formes : fermeture de routes, sit-in, grèves dans les universités ou les transports, coupures volontaires des téléphones portables... Les forces de sécurité ont procédé à des arrestations à Damas et à Douma, où la grève était observée à 90% selon l'OSDH et des militants, et ont tenté d'ouvrir de force les magasins à Harasta. Les affrontements entre opposants du régime et partisans de Bachar el Assad ont fait 55 morts vendredi 9 et samedi 10 décembre et ont coûté la vie à au moins 13 civils dimanche 11 décembre à travers le pays. Sur le plan politique, le régime a appelé les citoyens à voter en nombre lors des élections municipales prévues lundi 12 décembre. Entre-temps, le président du Conseil national syrien (CNS), qui regroupe la plupart des courants de l'opposition, Burhan Ghalioun, a déclaré, à l'hebdomadaire allemand Der Spiegel, que « l'opposition n'est plus prête à négocier avec des assassins. Mais elle est prête à parler aux fonctionnaires civils et militaires qui ne représentent pas le régime mais les institutions. Nous voulons que les institutions publiques, et avec elles l'ordre et la paix social, soient conservées ».
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Syrie : Bachar el-Assad nie toute responsabilité dans la répression Dans une interview pour la chaîne télévisée américaine ABC News, le président Bachar al-Assad a nié mercredi 7 décembre toute responsabilité dans la mort de milliers de manifestants en Syrie, assurant que seul « un fou » pourrait donner l'ordre de tirer sur son peuple. Pour la diplomatie américaine, ces propos sont « ridicules » et « pas dignes de foi ».
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La Syrie laisse passer un nouvel ultimatum arabe, la répression continue dans le pays Les responsables syriens ont encore laissé passer une chance d'éviter davantage de sanctions arabes en ignorant le nouveau délai donné par la Ligue arabe pour signer un protocole sur l'envoi d'observateurs dans le pays.
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Calme précaire à Damas Las du régime, frustrés face à la situation économique, les Damascènes, anxieux, se réfugient dans l’immobilisme. Il s’en faudrait de peu, cependant, pour qu’ils versent dans les réactions radicales.
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Six mois de répression en Syrie La répression a fait, selon l’ONU, plus de 2 700 morts depuis la mi-mars. Des milliers de personnes sont détenues au secret dans les prisons syriennes où la torture est une pratique courante, sans perspective de jugement.
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La Syrie sauve sa tête à l’ONU Chine et Russie opposent un veto à une résolution contre le régime de Bachar Al Assad.
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En Syrie, la répression s’intensifie contre les villes rebelles En Syrie, l’armée et les forces de sécurité syriennes ont lancé lundi 5 septembre une offensive dans la ville de Hama, tandis que plusieurs personnes ont été tuées par des tirs de la police à Homs. Ces villes restent des fiefs de la contestation contre le président Bachar Al Assad, qui ne faiblit pas depuis près de six mois, en dépit d’un lourd bilan humain, faisant état de plus de 2 200 personnes tuées par les forces de l’ordre et plus de 10 000 arrêtées, incarcérées et torturées par le régime.
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Le pouvoir syrien de plus en plus lâché par ses soutiens russes et arabes poursuit la répression Une crise a éclaté dimanche 28 août entre Damas et la Ligue arabe qui a appelé ce pays à "suivre la voie de la raison avant qu'il ne soit trop tard", alors que trois personnes ont été tuées et neuf autres blessées par les tirs de forces de sécurité.
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Homs, l’emblème des maux de la Syrie La troisième ville du pays a connu une forte croissance de sa population. Dans cette ville intellectuelle et libérale, le chômage est aussi important.
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A Deir Ezzor, un semblant de normalité Depuis le 7 août, les chars patrouillent dans cette ville aux portes du désert. Les autorités ont voulu montrer, hier, que la situation était redevenue normale.
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Des navires de guerre contre Lattaquié Dans cette ville portuaire du nord de la Syrie, les violences contre le régime ont commencé dès le mois de mars. La marine de guerre a tiré, dimanche 14 août, contre des quartiers révoltés.
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La machine militaire se poursuit en Syrie, l'armée recourt à des navires de guerre Le port de Lattaquié a été la cible des navires de guerre dimanche 14 août. L'armée appuyée par des chars poursuit son offensive dans plusieurs villes du pays.
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Rami Abdel Rahmane ou la répression syrienne en direct Principale source des médias occidentaux, Rami Abdel Rahmane affirme être à la tête d’un réseau de deux cents militants mais le mystère dont il s’entoure suscite parfois la méfiance.
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Michel Kilo, chrétien et dissident syrien Après avoir passé trois ans dans les geôles de Bachar Al Assad, le journaliste et écrivain Michel Kilo est aujourd’hui une des figures intellectuelles de la contestation.
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La communauté internationale accentue la pression sur la Syrie Après l'Italie et l'Arabie-Saoudite, le Bahreïn et le Koweït ont décidé lundi 8 août de rappeler leur ambassadeur à Damas en signe de protestation contre la répression en Syrie. La communauté internationale multiplie les déclarations et se mobilise pour faire cesser les violences dans ce pays.
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Syrie : l'Arabie-Saoudite annonce le rappel de son ambassadeur à Damas Après la Ligue arabe qui a appelé dimanche 7 août les autorités syriennes à mettre fin "immédiatement" aux violences, l'Arabie saoudite a annoncé dimanche le rappel de son ambassadeur à Damas dans un communiqué consacré à la crise syrienne et publié à Ryad. Pour la première fois depuis le début de la contestation populaire il y a près de cinq mois, le roi saoudien Abdallah a annoncé dimanche le rappel de son ambassadeur à Damas pour "consultations", incitant le régime syrien à "arrêter la machine de mort et l'effusion de sang, et à faire valoir la raison avant qu'il ne soit trop tard". Le Pape Benoît XVI a aussi lancé des appels pressants aux autorités syriennes pour "répondre aux aspirations légitimes" de la population, se disant "vivement préoccupé" par "les épisodes dramatiques et croissants de violence en Syrie. "
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Syrie : 52 civils tués par les tirs de la Sécurité selon les militants, la Ligue arabe réagit La Ligue arabe a réagi officiellement pour la première fois depuis le début en mars de la révolte populaire, durement réprimée par le régime du président al-Assad.
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L’ONU condamne pour la première fois la
répression en SyrieLa Russie et la Chine ont voté en faveur d’une déclaration dénonçant les « violations généralisées des droits de l’homme ». Les États-Unis affirment que Bachar Al Assad est « une source d’instabilité » pour son pays.
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Quelles sont les sanctions possibles contre la Syrie ? Après la répression à Hama par l’armée syrienne, l’Italie et l’Allemagne ont demandé lundi 1er août une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU. La France et le Royaume-Uni réclament une résolution de l’ONU. L’Union européenne a pris un nouveau train de sanctions contre le régime du président Bachar Al Assad.
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Le pouvoir syrien répond violemment à la contestation populaire La ville de Hama, située dans le centre du pays, a connu dimanche 31 juillet une violente attaque des forces de sécurité syriennes. La répression a fait 2 000 morts à travers le pays depuis le 15 mars et près de 3 000 disparus. Le président Assad a félicité l’armée « luttant contre les complots ».
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Peser sur Damas Le régime de Bachar Al Assad est plus que jamais décrié, y compris par les diplomaties française et américaine
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Syrie : l’immunité diplomatique en question Les ambassades de France et des États-Unis à Damas ont été attaquées lundi 11 juillet. Les deux pays et la Syrie s’affrontent sur la convention de Vienne qui régit les relations diplomatiques.
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En Syrie, la répression se renforce L’armée a utilisé pour la première fois des hélicoptères de combat contre les civils. Des milliers de réfugiés fuient vers la Turquie