Tout, en réalité, pourrait tenir dans une seule image pour résumer ce voyage. Celle d’une coiffe amérindienne mêlée à des calottes violettes et rouges. Pendant ses cinq jours au Canada, du 24 au 30 juillet, le pape François a entraîné l’Église universelle dans un voyage qui en a surpris beaucoup : un « pèlerinage pénitentiel » destiné à demander pardon pour l’implication de l’Église catholique dans la gestion des pensionnats pour autochtones, pendant plus d’un siècle.
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