À l’aube de la cinquantaine, Constance s’étiole dans un mariage où elle reste dans l’ombre de son époux et où les corps n’ont jamais su se parler. Elle se raccroche à un amant, puis à un autre comme à des bouées de secours. Dans un parallèle saisissant, elle s’égare au fur et à mesure que s’effacent les mots et souvenirs de sa mère, atteinte d’Alzheimer : depuis toujours en quête d’affection, l’une se perd dans des amours vaines, l’autre, désorientée par la maladie, dans les rues de Paris la nuit.
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