Le tourbillon incessant du cylindre de 1,5 m de diamètre pour 6,5 m de haut rend toute conversation vaine. Une légère odeur de chaud émane du cœur du plus imposant projet hydroélectrique d’Afrique : le grand barrage de la Renaissance ou « Gerd », selon l’acronyme anglais. En 2022, deux turbines convertissant l’eau en électricité ont été inaugurées. Onze autres suivront progressivement à l’horizon 2025. De quoi doubler la production électrique de l’Éthiopie, et surtout remporter le colossal défi lancé il y a douze ans.
Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Je m'abonne
Déjà abonné ? Je me connecte