Le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) a annoncé le retrait de ses combattants du territoire turc dès le 8 mai.

Le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) a annoncé le retrait de ses combattants du territoire turc dès le 8 mai.
Le chef de la guérilla kurde, Abdullah Öcalan, doit annoncer le retrait de Turquie de ses combattants.
Trois femmes militantes ont été retrouvées assassinées dans les locaux parisiens du centre d’information du Kurdistan. La tuerie intervient après l’annonce, par des médias turcs, d’un accord entre les autorités turques et Abdullah Öcalan, fondateur du PKK détenu depuis 1999. Les autorités turques parlent de tentative de sabotage du processus de paix.
Au nord de la Syrie, à la frontière turque, les Kurdes syriens contrôlent leur territoire, épaulés par le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) de Turquie. Ils ne revendiquent pas l’indépendance, mais une certaine autonomie dans une future Syrie qui ne serait pas seulement arabe. Le leader kurde d’Irak, Massoud Barzani, tente de fédérer les Kurdes de Syrie.
Une nouvelle vague d’arrestations de sympathisants pro-kurdes soulève la crainte des défenseurs des droits de l’homme.