Le synode mondial sur l’avenir de l’Église qui s’ouvre cette semaine à Rome suscite des réactions limitées en Allemagne. Derrière la « joie » affichée par les huit représentants allemands à prendre part à ce grand exercice d’« écoute mutuelle » transparaissent une modestie des attentes et un réalisme teinté d’impatience. En cause : le format du synode choisi par le pape, qui n’est pas conçu par le Vatican pour aboutir à des décisions contraignantes, et les tensions avec Rome autour du processus interne de réformes mené en Allemagne.
Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Je m'abonne
Déjà abonné ? Je me connecte