Enquête

En pleine réforme, les attentes de l’Église d’Allemagne pour le synode mondial

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Grâce à son processus de réformes internes lancé en 2020, la délégation allemande arrive à Rome forte de son expérience de la synodalité mais consciente des limites de l’exercice qui débute. Pour l’évêque d’Essen, Mgr Franz-Josef Overbeck, il est important que les « grands thèmes » du chemin synodal soient abordés à Rome, « du rôle des femmes à la question de la sexualité ou de la question des personnes qui s’aiment ».
Grâce à son processus de réformes internes lancé en 2020, la délégation allemande arrive à Rome forte de son expérience de la synodalité mais consciente des limites de l’exercice qui débute. Pour l’évêque d’Essen, Mgr Franz-Josef Overbeck, il est important que les « grands thèmes » du chemin synodal soient abordés à Rome, « du rôle des femmes à la question de la sexualité ou de la question des personnes qui s’aiment ». IMAGO / Peter Back/IMAGO/Maxppp
Grâce à son processus de réformes internes lancé en 2020, la délégation allemande arrive à Rome forte de son expérience de la synodalité mais consciente des limites de l’exercice qui débute.

Le synode mondial sur l’avenir de l’Église qui s’ouvre cette semaine à Rome suscite des réactions limitées en Allemagne. Derrière la « joie » affichée par les huit représentants allemands à prendre part à ce grand exercice d’« écoute mutuelle » transparaissent une modestie des attentes et un réalisme teinté d’impatience. En cause : le format du synode choisi par le pape, qui n’est pas conçu par le Vatican pour aboutir à des décisions contraignantes, et les tensions avec Rome autour du processus interne de réformes mené en Allemagne.

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