Que recouvre ce nouveau « droit à l’aide à mourir » que la proposition de loi examinée par les députés depuis vendredi 16 mai au soir entend instaurer ? Quelles seront les conditions d’accès au dispositif ? Quelle sera la procédure d’examen des demandes ? Le mode opératoire retenu ? Comment la loi, si elle est adoptée, sera-t-elle contrôlée ? Autant de points qui ouvrent sur des questions vertigineuses et que le débat prévu jusqu’au dimanche 25 mai devra trancher avant le vote solennel annoncé pour le mardi suivant.
Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Je m'abonne
Déjà abonné ? Je me connecte