Electricité de France (EDF)

Le nouveau PDG d’EDF est entré en fonction, mardi 6 mai. Les dossiers sur sa table sont nombreux, comme la signature de nouveaux contrats avec les clients industriels et la relance de la production nucléaire. L’entreprise est très endettée et doit trouver avec l’État le moyen de financer ses nouveaux réacteurs.

L’assemblée générale des actionnaires d’EDF a approuvé, lundi 5 mai 2025, la nomination de Bernard Fontana à la tête du groupe public, succédant ainsi à Luc Rémont, parti de manière inattendue. Il ne reste plus qu’un décret de l’Élysée pour officialiser cette désignation.

Le réacteur nucléaire EPR de Flamanville (Manche) a été reconnecté au réseau électrique samedi soir 19 avril, a annoncé EDF, deux jours avant la date initialement prévue. Il était à l’arrêt depuis le 15 février en raison d’aléas techniques.

La filière doit recruter 43 000 personnes d’ici à 2030, sur des métiers techniques pour moderniser les installations et en construire de nouvelles. Un véritable défi, car des tensions s’observent déjà sur certaines formations et dans certaines régions, où les besoins excéderont largement les places disponibles.

Le PDG va quitter son poste pour être remplacé par Bernard Fontana, le directeur général de Framatome. Le gouvernement justifie son choix par la nécessité de reprendre en main la relance du programme nucléaire et d’éviter les dérapages. Luc Rémont était aussi accusé par les industriels de vouloir leur vendre une électricité trop chère.

L’Élysée a annoncé vendredi 21 mars 2025 dans un communiqué que le patron d’EDF Luc Rémont, dont le mandat d’administrateur arrivait à l’échéance à l’été, ne serait pas reconduit à son poste. Emmanuel Macron prévoit de le remplacer par le directeur général de Framatome Bernard Fontana.

Le gouvernement veut réduire les aides à l’installation de panneaux sur les toits, en divisant notamment par trois le tarif de rachat de l’électricité produite par les nouveaux projets. L’objectif est de limiter l’envolée des coûts pour les finances publiques. Mais la filière dénonce un coup de frein brutal.

Le Médiateur national de l’énergie a rapporté jeudi 6 mars 2025 que le nombre d’interventions pour des factures d’électricité ou de gaz impayées avait augmenté de 24 % en 2024. Une hausse « préoccupante » qui confirme la tendance des années précédentes.

RTE a dévoilé, jeudi 13 février, son programme d’investissements d’ici à 2040. Il doit rénover un réseau vieillissant, parfois centenaire, et raccorder les futurs parcs éoliens en mer, loin des côtes, avec des technologies qui sont encore mal maîtrisées. Un défi industriel majeur.

En 2024, 95 % de l’électricité française était issue du nucléaire et des renouvelables, selon les données publiées par RTE, lundi 20 janvier. Un niveau record qui permet d’afficher une intensité carbone parmi les plus basses du monde. C’est loin d’être le cas chez nos voisins.

Les tarifs réglementés d’électricité vont baisser de 15 % au 1er février a indiqué jeudi 16 janvier la commission de régulation de l’énergie. Une première depuis 2015 et une bonne nouvelle pour le pouvoir d’achat de plus de vingt millions de foyers.

La Cour des comptes a publié, mardi 14 janvier, un rapport très sévère sur la filière EPR, avec une facture qui s’est envolée à 23,7 milliards d’euros pour le réacteur de Flamanville. Les partisans de l’atome dénoncent un rapport à charge occultant l’intérêt d’avoir une électricité décarbonée et pas intermittente.

Les énergies renouvelables, qui dépendent de la météo, sont par nature intermittentes. Ces variations de la production engendrent une forte volatilité des prix du courant. Pour maintenir l’équilibre du système électrique, les projets de parcs de batteries se multiplient.

L’EPR normand de Flamanville, le plus puissant de France, est connecté au réseau électrique national. Initialement prévu vendredi puis dans la nuit, le raccordement a finalement eu lieu ce samedi 21 décembre en milieu de journée, douze ans après sa mise en chantier.

L’EPR de Flamanville, le premier réacteur de nouvelle génération construit en France, sera raccordé au réseau électrique vendredi, a annoncé mercredi 18 décembre EDF. La montée en puissance du réacteur se fera progressivement jusqu’à l’été 2025.

Le solde net d’exportation d’électricité devrait atteindre 90 TWh cette année, a annoncé EDF, jeudi 7 novembre. Un record. La France a également retrouvé un niveau de prix de l’électricité parmi les plus bas d’Europe.

L’électricité est progressivement rétablie en Guadeloupe, près de 24 heures après une coupure électrique généralisée. L’archipel est maintenu sous couvre-feu jusqu’à 06 h 00 du matin, heure locale.

La Guadeloupe est privée vendredi 25 octobre d’électricité, a indiqué la filiale locale d’EDF. La coupure a été provoquée par l’arrêt des 12 moteurs de la centrale Jarry, qui fournit la quasi-totalité de l’électricité sur le territoire. L’incident a été provoqué par « des salariés grévistes » de la centrale.

Le projet de budget débattu à partir du lundi 21 octobre dans l’hémicycle prévoit de relever la taxe intérieure de consommation finale sur l’électricité (TICFE) à son niveau d’avant-crise inflationniste. Malgré les 3 milliards d’euros de recettes promis, la proposition a été massivement rejetée la semaine dernière en commission, les députés reprochant au gouvernement une fiscalité pénalisante pour le pouvoir d’achat et à contre-courant de la transition écologique.

Dans ses nouvelles prévisions, publiées mardi 15 octobre, Enedis, le gestionnaire du réseau de distribution, table sur une hausse de la demande d’ici à 2035. Elle serait tirée notamment par les voitures électriques. Entre 2035 et 2050, les perspectives sont en revanche plus floues.

Avec la fin du bouclier tarifaire prévu en février 2025, la taxe sur l’électricité (TICFE) doit revenir à son niveau normal. Mais le gouvernement envisage de l’augmenter un peu plus, en profitant de la baisse attendue du prix du kilowattheure. Les ménages qui ont souscrit une offre de marché à prix fixe risquent de se retrouver avec une facture en hausse.

La consultation doit se tenir, ce dimanche 6 octobre, pour décider de la construction de la première centrale nucléaire du Kazakhstan. Mais le pays garde le souvenir douloureux des essais nucléaires soviétiques. Quatre candidats sont en lice, dont le français EDF et le géant russe Rosatom.

Le groupe EDF et son ancien patron Henri Proglio ont été relaxés lundi 30 septembre par le tribunal correctionnel de Paris. Ils étaient poursuivis pour favoritisme dans une affaire de contrats litigieux avec des consultants entre 2010 et 2016.

Le projet de transformer la centrale à charbon en centrale fonctionnant avec des déchets de bois va être abandonné, a annoncé EDF, mardi 24 septembre. Elle devrait être remplacée par une usine de Framatome fabriquant de la tuyauterie pour le nucléaire.

L’augmentation du « tarif réseau », lié aux coûts d’acheminement de l’électricité, sera appliquée seulement à partir du 1er février, a annoncé le gendarme de l’énergie mercredi 11 septembre. Cette hausse sera alors absorbée par le repli attendu des cours de l’électricité.

Tout juste démarré, l’EPR de Flamanville s’est mis en arrêt automatique mercredi à la suite d’une « erreur humaine », a annoncé jeudi 5 septembre l’Autorité de sûreté nucléaire. Cette anomalie a pour origine une mauvaise mise en configuration des systèmes électroniques, a-t-elle précisé.

Le réacteur de l’EPR de Flamanville « s’est arrêté automatiquement » mercredi 4 septembre, au lendemain de son démarrage, a indiqué EDF. Selon l’énergéticien, ses équipes procèdent à des contrôles techniques et à des analyses pour pouvoir relancer la réaction nucléaire.

Le cœur du réacteur EPR de Flamanville est entré en activité après dix-sept ans de travaux. Pour la France, c’est un grand pas en avant dans la relance de la filière nucléaire, après des années de piétinement. Même si cette énergie a des inconvénients, elle permet de lutter contre le changement climatique.

EDF a indiqué dans la nuit de lundi à mardi 3 septembre que le processus menant à la première réaction en chaîne de fission nucléaire a commencé à l’EPR de Flamanville. Le groupe a toutefois annoncé lundi qu’il faudrait attendre trois mois supplémentaires pour voir son nouveau réacteur alimenter le réseau électrique.

À la veille des Jeux paralympiques, Mathieu Lehanneur, designer de la torche, du chaudron et de la vasque, revient sur cette folle aventure. Il s’avoue « partagé » sur la conservation à Paris de sa vasque volante, qui a conquis le public.

Dans cette fiction diffusée à 23 h 11 sur Arte vendredi 2 août et sur arte.tv, un village du Vaucluse est animé par des débats au moment de l’extension d’un parc éolien. Au centre du récit, mélange de portraits individuels et collectif, l’étrange duo d’un fils attardé et d’une mère qui refuse son envol.

La Commission de régulation de l’énergie (CRE) a annoncé lundi 15 juillet que le gouvernement avait décidé de ne pas appliquer une augmentation des tarifs de l’électricité qui devait intervenir le 1er août.

Depuis le chargement du combustible, à la mi-mai, les derniers essais sont réalisés pour arriver à la première réaction nucléaire. L’EPR devrait être connecté au réseau, dans quelques semaines, dès qu’il aura atteint 25 % de sa puissance. Il devrait être à 100 % avant la fin de l’année.

Selon un rapport du Sénat publié jeudi 4 juillet, la baisse du prix de l’électricité doit passer par « une baisse ciblée » de la fiscalité. La chambre haute estime qu’une baisse indifférenciée de la TVA, comme le propose le RN, serait trop « coûteuse pour nos finances publiques et particulièrement injuste ».

La cour d’appel de Paris a jugé recevables, mardi 18 juin, les actions intentées par des ONG contre TotalEnergies et EDF sur le fondement du devoir de vigilance, qui oblige les multinationales à publier un plan sur les risques humains et environnementaux de leurs activités. Une décision aux implications « potentiellement immenses ».

La cour d’appel de Paris a estimé mardi 18 juin que les actions intentées par des ONG à l’encontre de TotalEnergies et EDF étaient recevables. Ces multinationales sont accusées de manquement à leur devoir de vigilance, qui les oblige à publier un plan sur les risques humains et environnementaux de leurs activités.

Le président de la République a annoncé jeudi 30 mai la reprise par EDF des turbines Arabelle, pièces essentielles des centrales nucléaire. En 2015, la branche énergie d’Alstom avait été acquise par GE, au terme d’une longue polémique, alors qu’Emmanuel Macron était ministre de l’économie.

Le procès de l’ancien président d’EDF s’ouvre à Paris, mardi 21 mai. Il est soupçonné de favoritisme en ayant fait bénéficier de contrats juteux à des conseillers en stratégie, sans procédures d’appels d’offres.

Emmanuel Macron a reporté mercredi 14 et jeudi 15 mai un double déplacement symbolique en Normandie pour défendre sa politique énergétique, qui mise à la fois sur le développement des renouvelables et la relance de l’atome. Il devait inaugurer mercredi, au large de Fécamp, le troisième parc français d’éoliennes en mer, puis assister jeudi à la fin du chargement d’uranium de l’EPR de Flamanville, en vue du démarrage, très retardé, du plus puissant réacteur nucléaire du pays.

Emmanuel Macron se rend, jeudi 16 mai, sur le site de l’EPR de Flamanville, qui va être connecté au réseau dans les prochaines semaines, avec douze ans de retard. Le chef de l’État met en avant l’importance de relancer un nouveau programme nucléaire. De son côté, EDF assure qu’il ne refera pas les mêmes erreurs, notamment en préparant un réacteur dont le concept a été simplifié.

Né il y a deux ans à Simiane, dans les Bouches-du-Rhône, ce concept en plein développement permet aux producteurs d’énergie photovoltaïque de partager leur surplus, pour aider des foyers et structures précaires à réduire leur facture d’électricité.

L’Autorité de sûreté nucléaire a autorisé mardi 7 mai la mise en service de l’EPR de Flamanville. Cette décision va permettre à EDF de commencer à charger le combustible dans le cœur du réacteur, un jalon essentiel avant le lancement progressif de la production d’électricité prévu cet été.

EDF a annoncé mercredi 27 mars que l’EPR de Flamanville doit injecter pour la première fois de l’électricité dans le réseau national « à l’été 2024 ». Le programme a pris douze ans de retard sur le calendrier initialement prévu.

Le chargement du combustible du réacteur EPR de Flamanville d’EDF est repoussé au plus tôt à mi-avril, compte tenu de délais de consultation du public « incompressibles », a déclaré mardi 26 mars l’Autorité de sûreté nucléaire. L’opération devait initialement avoir lieu le 31 mars.

Le ministère des armées a annoncé, lundi 18 mars, que la centrale nucléaire de Civaux, dans la Vienne, va être mise à contribution pour produire du tritium. Cette forme d’hydrogène, très rare à l’état naturel, est une composante essentielle des bombes à fusion nucléaire qui figurent dans l’arsenal français.

Une « collaboration » avec EDF a été annoncée par le ministère des armées, lundi 18 mars. Ce partenariat est destiné à utiliser la puissance des deux réacteurs nucléaires de la centrale de Civaux pour produire du tritium avec le Commissariat à l’énergie atomique (CEA).

Le tarif réglementé de vente (TRV) augmente de près de 10 %, jeudi 1er février, avec le rétablissement d’une partie de la fiscalité. Mais les prix de l’électricité ont beaucoup baissé, ce qui permet aux concurrents d’EDF de proposer des offres attractives, avec des rabais de 10 à 20 % sur le prix du kilowatt/heure.

EDF a annoncé mardi 23 janvier que la mise en service du premier réacteur nucléaire EPR de la centrale de Hinkley Point C en Angleterre est repoussée d’au moins deux à quatre ans, pour une livraison attendue entre 2029 et 2031.

Le ministre de l’économie Bruno Le Maire a annoncé, dimanche 21 janvier, une hausse d’un peu moins de 10 % du tarif réglementé de l’électricité par le rétablissement d’une partie des taxes. Pour le gouvernement, c’est un pas de plus vers la sortie du bouclier tarifaire, prévue pour 2025.

Le ministre de l’économie a confirmé dimanche 21 janvier que la hausse de la facture d’électricité serait de près de 10 % pour la majorité des Français. Une augmentation provoquée par la sortie progressive du « bouclier tarifaire », qui a permis de limiter la hausse pour les consommateurs ces derniers mois.

Le gestionnaire du réseau électrique RTE a annoncé mardi 26 décembre que la France a exporté 18 680 mégawatts vers ses voisins vendredi, un volume record d’électricité. Une vente permise par la meilleure disponibilité de son parc nucléaire et les moindres besoins en énergie du pays.

Selon un accord signé entre l’État et EDF, annoncé mardi 14 novembre, l’ensemble de la production nucléaire d’EDF va être encadré dans une fourchette de prix. Le gouvernement assure que le dispositif, prévu pour 2026, permettra une plus grande visibilité. Pour les ménages, les tarifs réglementés vont être maintenus.

Lors des élections dans les comités sociaux et économiques qui se sont achevées lundi soir 13 novembre, la CFE-CGC, alliée à l’Unsa, a devancé pour la première fois la CGT, en tête des élections depuis la création du groupe public en 1946.

L’association de consommateurs UFC-Que choisir a annoncé ce jeudi 26 octobre le lancement d’une nouvelle offre d’achats groupés d’électricité, qui permet d’obtenir des prix moins chers que le tarif réglementé. Le comparateur Selectra avait lancé la sienne en début de semaine.

Le gouvernement espère arriver à un accord avec la Commission européenne sur l’avenir des concessions hydroélectriques d’ici à la fin de l’année. EDF estime pouvoir augmenter la puissance de son parc de 15 à 20 %.

La présidente de la Commission de régulation de l’énergie, Emmanuelle Wargon, a évoqué jeudi 14 septembre une hausse de 10 à 20 % du TRV (tarif de vente de l’électricité) en 2024. Une telle augmentation a été immédiatement exclue par le gouvernement, qui prévoit tout de même de mettre fin progressivement au bouclier tarifaire l’an prochain. 

Le ministre de l’économie et des finances Bruno Le Maire a déclaré, jeudi 14 septembre, qu’il excluait une augmentation de 10 à 20 % des tarifs réglementés de l’électricité en février 2024. L’hypothèse de cette hausse a été avancée par la Commission de régulation de l’énergie (CRE).

Dans les allées comme sur la scène de la Rencontre des entrepreneurs de France, réunie lundi 28 et mardi 29 août par le Medef à l’hippodrome parisien de Longchamp, la question de l’acceptabilité sociale de la transition écologique est au cœur des préoccupations de patrons.

Un décret paru au Journal officiel, jeudi 24 août, prolonge l’activité des deux dernières centrales électriques françaises fonctionnant au charbon. Elles pourront rester en activité jusqu’à la fin 2024, au nom de la sécurité d’approvisionnement.

La centrale de Bugey, sur le Rhône, et celle de Golfech, au bord de la Garonne, pourraient réduire, voire arrêter leur production à compter du 19 août, afin de ne pas augmenter la température déjà élevée de l’eau de ces fleuves. Ces mesures n’auront aucun impact sur l’approvisionnement en électricité.

Avec l’augmentation des tarifs réglementés de l’électricité de 10 % le 1er août, le gouvernement maintient le bouclier tarifaire, mais ne prend plus en charge que 37 % des factures, contre 43 % depuis février. Le bouclier doit prendre fin avant 2025.

En misant sur les centrales biomasse et l’énergie hydroélectrique, Abidjan ambitionne d’atteindre 42 % d’énergies renouvelables dans son mix énergétique d’ici à 2030.

EDF a inauguré, mardi 20 juin, son premier parc solaire flottant dans les Hautes-Alpes, installée sur une retenue hydroélectrique. Les projets se multiplient dans l’Hexagone, notamment sur d’anciennes carrières ou gravières.

EDF revient dans le giron de l’État jeudi 8 juin, 17 ans et 6 mois après son entrée en Bourse. Depuis sa création en 1946, l’entreprise a épousé toutes les évolutions de la société française, du consumérisme des Trente Glorieuses à la mondialisation.

Le premier flotteur de la ferme pilote développée par EDF au large de la Camargue a été mis à l’eau, lundi 22 mai dans le port de Marseille. La mise en service est prévue au début de l’année prochaine. L’objectif de cette ferme pilote est de démontrer la faisabilité technique et économique des éoliennes flottantes.

Les canicules et les risques accentués de sécheresse pourraient perturber le fonctionnement des centrales nucléaires qui ont besoin de beaucoup d’eau. L’électricien est ainsi contraint d’imaginer des solutions – il en a présenté mardi 16 mai – pour refroidir ses centrales nucléaires, même en période de sécheresse et de forte chaleur.

L’Assemblée nationale a adopté, mardi 16 mai, le projet de loi d’accélération du nucléaire, visant à simplifier et à accélérer les procédures. L’alliance du nucléaire, créée par la France, réunit maintenant seize pays européens. L’objectif est de peser sur les décisions, alors que les instances de l’UE restent dominées par les opposants à l’atome civil.

La société britannique Newcleo, fondée par un ingénieur italien, a annoncé lundi 15 mai engager 3 milliards d’euros d’investissements en France d’ici à 2030, pour construire un petit réacteur à neutrons rapides de 30 MW dans la vallée du Rhône, qui fonctionnerait avec les déchets des autres centrales.

Les députés ont voté jeudi 4 mai un texte en deuxième lecture visant à « protéger EDF d’un démembrement », contre l’avis du gouvernement.

La cour d’appel de Paris a rejeté mardi 2 mai le recours formé par des actionnaires minoritaires contre la renationalisation d’EDF. Elle devrait être effective d’ici à la fin du mois, donnant au gouvernement les coudées franches pour relancer la construction de réacteurs nucléaires.

Le bouclier tarifaire sur l’électricité sera encore maintenu deux ans selon une annonce de Bruno Le Maire vendredi 21 avril. Cette mesure avait été mise en place par le gouvernement français en octobre 2021 face à la hausse des factures d’électricité.

L’électricien met en avant une situation financière critique pour justifier une pause dans les recrutements. Selon lui, les grèves de ces dernières semaines lui ont coûté un milliard d’euros.

Dans un communiqué publié jeudi 16 mars, l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a indiqué qu’EDF avait identifié 320 soudes jugées à risque de fissures dans ses centrales nucléaires, et souhaitait contrôler 90 % des soudures « prioritaires » d’ici à la fin de l’année.

De nouvelles fissures sur les tuyauteries ont été découvertes sur deux réacteurs nucléaires supplémentaires. Plusieurs centaines de soudures vont devoir être vérifiées, avec des conséquences sur la production française d’électricité qui sont encore, pour l’instant, difficiles à estimer.

La mobilisation dans les secteurs des transports, de l’énergie, des raffineries ou encore de l’aérien se poursuivait, mercredi 8 mars, contre la réforme des retraites actuellement à l’examen au Sénat. De nouvelles perturbations sont attendues jeudi 9 mars.

L’électricien a découvert « un défaut significatif » sur une tuyauterie du réacteur 1 de Penly, en Seine-Maritime, arrêté depuis 2021 et en cours de réparation.

L’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a sommé mardi 7 mars EDF de « réviser sa stratégie » pour résoudre les problèmes qui perturbent ses centrales, après la découverte d’une nouvelle fissure sur un réacteur à l’arrêt de Seine-Maritime.

Le gouvernement souhaite supprimer l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) en mettant en avant un besoin de plus d’efficacité. Mais cette mesure passe mal chez ses agents, qui redoutent de déséquilibrer son fonctionnement et perdre la confiance du public.

Malgré des pertes records enregistrées en 2022, et un endettement croissant, le groupe a quelques motifs de satisfaction qui le rendent un peu plus confiant pour les prochains mois. Désormais 43 réacteurs sur 56 sont aujourd’hui en service, alors que la moitié du parc était à l’arrêt au début de l’hiver.

EDF a perdu 17,9 milliards d’euros en 2022, a annoncé l’entreprise vendredi 17 février. Il s’agit du pire résultat de son histoire. L’endettement de l’entreprise atteint la somme record de 64,5 milliards d’euros.

Au terme d’une année noire, l’électricien, que l’État compte renationaliser à 100 %, a annoncé, vendredi 17 février, des pertes colossales et une dette stratosphérique dépassant les 64 milliards d’euros. Un chantier compliqué pour le nouveau patron, Luc Rémont, qui doit relancer le programme nucléaire sur fond de climat social tendu.

Les députés discutent en ce moment de l’article 1 du projet de loi de réforme des retraites, prévoyant la suppression des principaux régimes spéciaux. Un sujet beaucoup moins conflictuel que les années précédentes.

La CGT multiplie les actions « Robin des bois » en passant par exemple des consommateurs en heures creuses. Ces opérations sont préférées aujourd’hui aux « coupures ciblées ».

La CGT a appelé les dockers, les électriciens et les raffineurs à un mouvement de grève dès jeudi 26 janvier pour s’opposer à la réforme des retraites voulue par le gouvernement. La réforme supprimerait les régimes spéciaux de ces secteurs d’activité.

Le ministère de l’économie a annoncé vendredi 20 janvier avoir franchi le seuil de 90 % du capital d’EDF. L’État pourra désormais retirer les actions de l’entreprise de la Bourse.

Près d’un agent sur deux était en grève pour protester contre la réforme des retraites. Pour éviter un black-out, la France a importé massivement du courant et RTE a envoyé « un ordre d’arrêt de baisse » aux agents de conduite dans les centrales.

Des agents d’EDF ont provoqué mercredi 18 janvier de premières baisses de production d’électricité en lien avec le mouvement contre la réforme des retraites.

La réforme des retraites, présentée mardi 10 janvier par Élisabeth Borne, met fin aux régimes spéciaux, notamment ceux de la RATP et des industries électriques et gazières (IEG), dès le 1er septembre. Le recul de l’âge de départ à la retraite ne devrait pas être effectif avant 2025.

Le gestionnaire du réseau de transport d’électricité français, RTE, publie des prévisions un peu plus optimistes pour janvier. La baisse de la consommation, la remise en service de réacteurs nucléaires et la solidité des capacités d’interconnexion devraient permettre de passer l’hiver sans encombre.

EDF a annoncé vendredi 16 décembre six mois de délai supplémentaire pour la mise en service de son réacteur nucléaire EPR de Flamanville (Manche), désormais prévue à la mi-2024 au lieu de fin 2023. Ces six mois supplémentaires portent à 12 ans le retard par rapport à la date de démarrage initialement prévue.

Réseau de transport électrique (RTE) a annoncé jeudi 15 décembre avoir passé sans encombre un pic de consommation d’électricité en France. Un événement courant, alors que les températures baissent dans l’Hexagone.

Depuis 2018, la Fondation Abbé-Pierre et EDF ont noué un partenariat autour du don d’énergie.

L’ex-numéro deux de Schneider Electric a été nommé mercredi 23 novembre PDG d’EDF par le conseil des ministres. Sa priorité est de relancer la production nucléaire.

Quelque 600 personnes sont mobilisées pour réparer les réacteurs endommagés par un phénomène de corrosion sous contrainte. Mais le calendrier de redémarrage va être difficile à tenir, a annoncé EDF mardi 8 novembre…

Le groupe français a annoncé jeudi soir qu’il prévoyait de produire moins de nucléaire que prévu pour l’année 2022, à cause d’un arrêt prolongé de quatre réacteurs pour corrosion et une grève dans certains sites à l’automne.

Un accord passé entre les syndicats et la direction d’EDF a mis fin à la grève dans les centrales nucléaires de l’opérateur, jeudi 27 octobre.

Le groupe se dirige vers une perte historique cette année, et voit son endettement grimper, alors qu’il doit faire face à de lourds investissements. La crise actuelle ramène des clients vers l’opérateur historique, mais le nouveau patron de l’entreprise Luc Rémont va devoir faire face à de nombreux défis.

Une grande concertation est lancée autour du programme de construction en France de nouveaux réacteurs nucléaires par EDF. Le gouvernement va en mener une autre sur la place du nucléaire dans le mix énergétique. Deux démarches parallèles qui compliquent la compréhension des enjeux.

Un accord salarial au niveau national a été trouvé, vendredi 21 octobre, entre la direction d’EDF et des syndicats, après plusieurs semaines de mobilisation dans le parc nucléaire. Les salariés de la centrale nucléaire de Gravelines (Nord) ont voté dans la foulée la suspension de leur mouvement de grève jusqu’à lundi.

Le gestionnaire du réseau met en garde sur les « conséquences lourdes » que pourrait avoir la poursuite du mouvement social sur l’approvisionnement électrique.

Les salariés sont appelés à une journée de grève et de manifestations interprofessionnelles mardi 18 octobre « pour l’augmentation des salaires et la défense du droit de grève », après la décision du gouvernement de réquisitionner des salariés de l’industrie pétrolière pour permettre la distribution de carburant.

Le numéro deux de Schneider Electric devrait prendre les commandes d’EDF. L’entreprise, qui va être renationalisée, est en grande difficulté.

La moitié du parc nucléaire est aujourd’hui à l’arrêt. Les critiques pleuvent sur la perte d’efficacité d’EDF, qui va être renationalisé. Mais la gestion de l’État actionnaire est également pointée du doigt.

Les prix de l’électricité atteignent des niveaux jamais vus. Les fournisseurs ont du mal à suivre, et certains revoient leurs offres à la hausse. Bercy met en garde contre la tentation de certains opérateurs de se débarrasser d’une partie de leurs clients pour pouvoir revendre de l’électricité avec de gros profits.

Quatre réacteurs nucléaires, affectés par des problèmes de corrosion, verront leur arrêt prolongé de plusieurs semaines cet automne.

EDF a déposé un recours devant le Conseil d’État mardi 9 août pour demander 8,34 milliards d’euros d’indemnités à l’État, son principal actionnaire, à la suite du déploiement du « bouclier tarifaire ».

EDF, que l’État a forcé à distribuer de l’électricité nucléaire bon marché à ses concurrents pour limiter l’inflation, a réclamé mardi 9 août 8,34 milliards d’euros à son principal actionnaire.

Selon Les Échos, le gouvernement envisagerait de modifier la réglementation en vigueur sur les salaires des patrons des entreprises publiques, en vue de trouver un successeur au patron d’EDF Jean-Bernard Lévy.

TotalEnergies affiche un bénéfice record de 5,7 milliards d’euros au second trimestre 2022. EDF a en revanche annoncé jeudi 28 juillet une perte de 5,3 milliards d’euros.

Le gouvernement va reprendre les 16 % du capital de l’entreprise qui avait été mis en Bourse en 2005. Une solution jugée nécessaire pour sortir l’entreprise de son impasse financière.

Dans un communiqué publié mardi juillet par le ministère de l’économie, le gouvernement détaille son plan pour renationaliser le fournisseur d’énergie historique.

Devant la commission des affaires économiques du Sénat, un haut responsable du fournisseur d’énergie a affirmé mercredi 13 juillet que les risques de black-out restent très faibles, malgré une baisse de la production.

Le gouvernement va retirer l’entreprise de la Bourse et détiendra 100 % du capital, contre 84 % aujourd’hui. Il justifie notamment cette renationalisation par la relance du programme nucléaire, qui nécessitera beaucoup d’investissements. Le PDG d’EDF, Jean-Bernard Lévy, dont le mandat expire en mars 2023, partira plus tôt. Son successeur devrait être nommé à la rentrée.

Lors de sa déclaration de politique générale prononcée à l’Assemblée mercredi 6 juillet, la première ministre Élisabeth Borne a annoncé la nationalisation complète d’EDF. Ce modèle de fournisseur d’électricité publique reste peu répandu chez nos voisins européens.

La première ministre, Élisabeth Borne, a annoncé mercredi 6 juillet l’intention du gouvernement de renationaliser à 100 % l’énergéticien EDF, lourdement endetté et mis au défi de lancer un nouveau programme nucléaire. Un nouveau PDG doit être nommé prochainement.

Élisabeth Borne a annoncé mercredi 6 juillet la volonté de l’État de renationaliser à 100 % EDF, jusqu’à présent détenu à près de 84 %.

L’électricien cherche à minimiser les rejets d’eau des centrales dans les rivières. Mais certains réacteurs vont sans doute devoir réduire leur production.

Avec la crise de l’énergie, le groupe a récupéré 550 000 abonnés depuis septembre, a annoncé son directeur exécutif mercredi 29 juin. La plupart d’entre eux sont des abonnés au gaz. EDF compte aussi se développer dans les services pour fidéliser ses clients.

Le patrons de TotalEnergies, d’EDF et d’Engie ont tous les trois appelé les consommateurs et les entreprises à limiter leur consommation d’énergie, dimanche 26 juin. Le gouvernement planche de son côté pour favoriser la sobriété.

Chaque geste compte pour économiser l’énergie, plaident trois énergéticiens français dans une tribune le 26 juin au JDD. L’enjeu est de sécuriser les stocks pour l’hiver prochain en France.

La construction du réacteur nucléaire d’EDF à Flamanville a viré au cauchemar. Les travaux touchent à leur fin, mais le chantier va laisser des traces dans l’entreprise. Retour sur un échec.

En France, six nouveaux réacteurs devraient être lancés d’ici à 2050, avec une option pour huit supplémentaires, a annoncé Emmanuel Macron, en février. Les prochains réacteurs français seront plus faciles à construire que celui de Flamanville, promet EDF. Une première mise en service est attendue à l’horizon 2035.

L’électricien se dit confiant pour un démarrage du réacteur en construction en 2023. Le chantier est quasiment terminé, même si le calendrier reste serré. Le premier réacteur français de type EPR devrait ainsi être mis en route avec onze ans de retard et son coût se monte désormais à 12,7 milliards d’euros.

L’entreprise conteste la décision de l’État lui imposant de vendre plus d’électricité à prix coûtant à ses concurrents pour limiter la flambée des factures d’électricité.

Compte tenu de la hausse des prix de l’électricité, les énergies renouvelables sont devenues extrêmement rentables. Au point de reverser beaucoup d’argent à l’État.

Une augmentation de capital de 3,1 milliards d’euros est lancée. L’idée d’une renationalisation de l’entreprise se profile.

La garantie de l’État est inévitable pour financer la construction des prochains EPR, mais plusieurs options sont étudiées, comme un système de prix garanti ou la participation des gros clients d’EDF.

Le gouvernement lance en urgence une augmentation de capital de 2,5 milliards d’euros. L’inquiétude est grande sur la situation du parc nucléaire.

Selon un audit commandé par le gouvernement, la construction d’un réacteur EPR de nouvelle génération pourrait coûter près de 52 millions d’euros.

Après les annonces du président Emmanuel Macron sur la construction de nouveaux réacteurs nucléaires, un certain nombre de points demeurent peu clairs. La Croix passe en revue ces questions qui restent à régler pour mettre en œuvre le nouveau programme nucléaire de la France.

Le conseil d’administration d’EDF a donné lundi 7 février son accord pour la reprise des activités nucléaires de General Electric. Les turbines Arabelle étaient passées en 2014 sous le giron du groupe américain lors du rachat des activités énergie d’Alstom.

Le groupe EDF a annoncé, mardi 8 février, l’arrêt prochain de trois réacteurs nucléaires supplémentaires afin de réaliser « des contrôles ». La décision fait suite à la révélation de problèmes de corrosion sur les systèmes de sécurité d’autres unités.

Un conseil d’administration d’EDF lundi 7 février devrait entériner le rachat de l’activité nucléaire de General Electric par EDF. La perspective de relancer le programme nucléaire français a sans doute joué sur l’issue de la négociation.

Le sujet est aujourd’hui évoqué, à droite comme à gauche de l’échiquier politique. Indemniser les actionnaires minoritaires d’EDF coûterait environ 5 milliards d’euros.

Direction et syndicats s’opposent aux mesures du gouvernement pour limiter la hausse du prix de l’électricité, qui privent selon eux l’entreprise de ressources au moment où elle en a le plus besoin. Un mouvement de grève est prévu ce mercredi 26 janvier.

Selon l’Autorité de sûreté nucléaire, la filière va avoir besoin de moyens très importants, et il faudra sans doute revenir sur la décision de fermer 12 réacteurs d’ici à 2035, pour redonner des marges de manœuvre au système électrique.

EDF est contraint de céder une part supplémentaire de sa production nucléaire à ses concurrents pour limiter la hausse de la facture électrique à 4 % cette année. Mais l’incertitude demeure pour 2023.

L’État va contraindre EDF à vendre davantage d’électricité à bas prix à ses concurrents, a annoncé dans la soirée du jeudi 13 janvier le ministre de l’économie Bruno Le Maire, soucieux de protéger le pouvoir d’achat des Français à trois mois de l’élection présidentielle.

L’époque des offres alléchantes est révolue. Les uns après les autres, les fournisseurs d’électricité concurrents d’EDF revoient leurs prix à la hausse.

Les travaux de réparation des soudures défectueuses sont plus longs que prévu et le nouveau réacteur d’EDF ne devrait pas entrer pleinement en service avant 2024.

La production nucléaire est au plus bas et les périodes sans vent se multiplient. En cas de vague de froid, des restrictions de l’électricité pourraient être mises en place.

Le réacteur a été connecté au réseau dans la nuit de lundi 20 à mardi 21 décembre, après douze ans de retard et une facture multipliée par trois. Symbole des errements d’Areva, ce dossier a conduit à la recomposition de la filière nucléaire.

La ministre de la transition écologique Barbara Pompili a reçu vendredi 17 décembre le PDG d’EDF Jean-Bernard Lévy, pour lui demander de prendre des mesures pour améliorer la sécurité d’approvisionnement en électricité. Mercredi, l’entreprise a annoncé l’arrêt de quatre réacteurs, après la détection de défauts sur des tuyauteries.

Les centrales de Civaux (Vienne) et de Chooz (Ardennes) sont arrêtées après la découverte de corrosion sur des tuyauteries. Un problème de conception n’est pas exclu.

La promesse de limiter à 4 % la hausse du tarif réglementé de vente en 2022 va coûter une petite fortune à l’État, qui cherche une parade.

Faute de pouvoir acheter plus d’électricité nucléaire à bas prix, des usines pourraient réduire leur production. Certaines pourraient même s’arrêter.

La crise sanitaire a bouleversé le calendrier de maintenance des réacteurs d’EDF. Cet hiver, entre 5 et 15 réacteurs nucléaires seront indisponibles, selon les semaines.

EDF a annoncé qu’elle ne couperait plus l’électricité aux ménages en cas d’impayés, y compris hors période hivernale. Le ministère du logement souhaite aboutir avec les fournisseurs à une « période de maintien d’une alimentation minimale » pour les ménages précaires d’ici au 31 mars 2022.

En cas d’impayés, et ce toute l’année, le groupe français ne demandera plus la coupure de l’électricité pour les particuliers. Il limitera désormais la puissance fournie, permettant ainsi aux clients de conserver un accès aux usages essentiels.

Le calendrier de démarrage du réacteur, prévu pour fin 2022, ne souffrira pas d’un nouveau retard. Avec un chantier lancé en 2007, l’EPR de Flamanville devait au départ être mis en service en 2012. Mais son édification a été affectée par de nombreux déboires et surcoûts.

L’électricien français vient de faire une offre aux autorités. Mais son concurrent américain Westinghouse est également très actif. Le dossier reste très politique dans le contexte actuel.

L’exécutif va encourager la création de petits réacteurs. La décision de lancer la construction de 6 EPR pourrait intervenir plus rapidement que prévu, mais les obstacles restent encore nombreux.

Le tarif réglementé de vente (TRV) de l’électricité d’EDF va augmenter l’an prochain. Plus de 22 millions de foyers sont concernés.

À la demande de l’État, l’électricien pourrait reprendre l’activité de construction de turbines pour les centrales nucléaires, que le groupe américain avait récupérée d’Alstom.

Les industriels gros consommateurs d’énergie veulent acheter davantage d’électricité nucléaire à prix fixe à EDF. Mais le gouvernement est très réticent.

Stocké et retraité en France, à La Hague, le combustible nucléaire usé d’anciennes centrales nucléaires allemandes va retourner outre-Rhin d’ici à 2024. Un seul convoi sera nécessaire. Mais l’Allemagne reste toujours sans solution pour son stockage à long terme.

La réorganisation de l’entreprise, en discussion avec Bruxelles depuis deux ans, ne fera pas l’objet d’un projet de loi à la rentrée, a annoncé mercredi 28 juillet le gouvernement.

Le gouvernement a annoncé mercredi 28 juillet que la réforme d’EDF ne pourra pas être bouclée avant la fin du quinquennat d’Emmanuel Macron. Une situation que regrette son PDG, Jean-Bernard Lévy, évoquant une réforme « indispensable ».

La centrale de Cordemais (Loire-Atlantique) devait être transformée en centrale à bois, mais le projet est jugé trop cher. Pour alimenter la Bretagne en courant, elle utilisera encore du charbon jusqu’en 2024, au moins.

Le dossier, qui vise à donner plus de moyens à EDF pour investir à la fois dans la modernisation de son parc de réacteurs et les renouvelables, est désormais à l’Élysée. Les syndicats craignent un passage en force.

La centrale nucléaire de Taishan, dans le sud de la Chine, est sous surveillance pour une possible fuite de gaz rares dans le circuit primaire de son réacteur EPR. Les annonces rassurantes d’EDF et des autorités chinoises tranchent avec le caractère alarmiste d’une lettre obtenue par CNN.

L’électricien est soupçonné de « violations des droits humains » par plusieurs ONG. Il s’en défend.

Initialement baptisé « Hercule », le projet de réorganisation du groupe s’enlise. Tandis que la Commission européenne réclame que ce « Grand EDF » se divise en trois entités distinctes mises en concurrence, Bercy insiste sur sa volonté de maintenir un « groupe intégré ».

Le gouvernement vient de revoir à la hausse le montant des certificats d’économie d’énergie, financés par les fournisseurs d’énergie, et qui permettent de réaliser des travaux d’isolation. C’est un dispositif supplémentaire afin d’accélérer la transition vers une économie bas-carbone.

EDF pourrait construire dans le pays la plus grande centrale nucléaire du monde, avec six réacteurs EPR. Le projet, qui a plus de dix ans, est dans la dernière ligne droite.

Le projet de réorganisation d’EDF fait face aux exigences de la Commission européenne et à l’hostilité des syndicats. Au cœur des discussions, la régulation du prix de revente de l’électricité produite par le nucléaire aux concurrents de l’entreprise.

Accor et Total ont décidé pour l’instant de rester dans le pays. EDF et Voltalia ont choisi de partir. Depuis le putsch du 1er février, l’armée birmane réprime dans le sang les manifestations quotidiennes, tuant au total plusieurs centaines de civils.

Après avoir perdu beaucoup de clients ces dernières années, l’électricien public entend inverser la tendance en mettant en avant la qualité de services pour séduire ceux qui sont partis à la concurrence. Parmi les arguments commerciaux mis en avant, le groupe évoque le prix de l’électricité.

De nouvelles alimentations en électricité et eau ont été installées auprès de chaque réacteur. Mais d’autres travaux sont encore à effectuer.

L’électricien a partagé ses résultats pour l’année 2020 marquée par l’épidémie de Covid-19. Il souligne sa « résilience » malgré la chute de ses bénéfices nets de 87 %.

Surendetté, l’électricien qui publie ses résultats 2020 jeudi 18 février n’a plus assez de moyens d’investir et craint d’être distancé par ses concurrents. En cause, selon l’entreprise et les syndicats, le mécanisme qui oblige EDF à vendre à prix fixe (42 €/MWh) sa production nucléaire à ses concurrents.

Après l’accident de Fukushima, l’électricien a mis en place une force d’action rapide pour intervenir en cas d’accident. Elle réalise plusieurs exercices grandeur nature par an, dont le dernier à la centrale de Paluel.

La FNSEA et le réseau des chambres d’agriculture ont signé, mardi 19 janvier, une charte de bonnes pratiques avec EDF Renouvelables pour le développement commun de projets solaires. Objectif : marier les impératifs de l’activité agricole et les enjeux de la production photovoltaïque.

RTE, le réseau de transport d’électricité français craignait une tension sur le réseau électrique vendredi 8 janvier à cause de la vague de froid que traverse le pays. Grâce, entre autres, aux « écogestes » auxquels la société appelait, cette tension n’a pas eu lieu.

Plusieurs augmentations de la facture sont attendues l’an prochain, du fait notamment de la modernisation des réseaux.

Le projet de réorganisation de l’électricien en trois sociétés distinctes fait l’unanimité contre lui. Les syndicats de l’entreprise appellent de nouveau à la grève.

La justice a reconnu vendredi 11 décembre 23 nouvelles « infractions caractérisées » depuis un premier jugement de 2019 condamnant Engie pour pratiques déloyales contre EDF. Le concurrent du fournisseur historique est sommé de faire cesser « tout acte de parasitisme et de dénigrement ».

L’Autorité de sûreté du nucléaire demande à EDF de faire des travaux supplémentaires dans ses centrales les plus anciennes.

Selon une étude, une majorité d’utilisateurs se déclarent satisfaits du compteur communicant d’Enedis, dont le déploiement doit s’achever fin 2021. Si les oppositions restent fortes et les offres spécifiques peu attractives, les services et les informations pratiques convainquent peu à peu.

Pour ne pas reproduire le fiasco du chantier de l’EPR de Flamanville, l’électricien est en train de revoir toutes ses procédures de fabrication. L’objectif est de standardiser tout ce qui peut l’être.

Des millions de foyers souscrivent encore à des tarifs réglementés qui doivent disparaître en 2023. Il faut donc être vigilant sur les offres qui vont fleurir.

Le médiateur de l’énergie a reçu un nombre record de plaintes l’an dernier, selon son rapport annuel publié mardi 16 juin. Le fournisseur italien Eni est une nouvelle fois pointé du doigt.

L’Association professionnelle du gaz (AFG) va déposer un recours devant le Conseil d’État pour demander l’annulation partielle du décret concernant la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE). Il l’accuse de privilégier l’électricité.

« Hello Watt » a constitué un réseau d’installateurs agréés pour la pose d’installations photovoltaïques chez les particuliers. L’objectif est de réduire les arnaques qui sont nombreuses dans le secteur.

La justice donne raison à Total dans le conflit qui l’oppose à EDF. Le pétrolier estime que compte tenu des circonstances actuelles, il n’a pas besoin d’acheter autant d’électricité nucléaire.

Le groupe pétrolier ne veut plus acheter l’électricité nucléaire d’EDF, comme il s’y était engagé, compte tenu de la chute des prix et de la demande. Le dossier, dont les enjeux financiers se comptent en centaines de millions d’euros, va se jouer devant les tribunaux.

L’électricien table sur une baisse d’un quart environ de sa production nucléaire cette année. Le groupe promet par ailleurs d’aider ses clients.

Le groupe affiche des bons résultats et compte accélérer ses investissements dans les renouvelables. Mais il reste handicapé par le poids de sa dette.

L’électricien a réalisé 5,2 milliards d’euros de bénéfice net en 2019, et prévoit une progression de son Ebitda pour 2020.

Les deux groupes sont accusés d’avoir collecté des informations sans l’autorisation explicite des clients.

Le gouvernement souhaiterait que toute la production nucléaire d’EDF soit mise à la disposition des fournisseurs à un prix fixé à l’avance.

Depuis une semaine, mi-décembre, des coupures de courant sont effectuées par des grévistes CGT mobilisés contre la réforme des retraites, privant d’électricité des dizaines de milliers de foyers.

Chez EDF, la CGT a revendiqué des coupures de courant dans toute la France pour protester contre la réforme des retraites. À la SNCF, la base semble prête à continuer la grève même si les confédérations appelaient à la reprise du travail.

Tous les concurrents d’EDF veulent avoir de l’énergie nucléaire pour proposer des offres pas chères. Mais il n’y aura pas assez et les prix seront revus à la hausse au 1er janvier.

Le gestionnaire du réseau de transport d’électricité (RTE) estime que la situation pourrait être tendue sur la période 2022-2023 à cause de l’arrêt du charbon et du retard pris par l’EPR de Flamanville.

Des nouveaux travaux prévus pour refaire de nouvelles soudures, jugées pas assez résistantes par l’Autorité de sûreté nucléaire, vont être réalisés par des robots.

Le projet de réorganisation d’EDF inquiète les collectivités locales qui s’interrogent sur l’avenir du gestionnaire du réseau de distribution.

Le ministre de l’économie, Bruno Le Maire parle du nucléaire comme d’un « État dans l’État », alors que les retards de l’EPR de Flamanville virent à la catastrophe industrielle.

Alors que les surcoûts et les retards s’accumulent dans les chantiers de Flamanville et de Hinkley Point en Angleterre, l’opérateur électrique public veut être prêt pour 2022, quand les pouvoirs publics prendront la décision de lancer ce programme destiné à remplacer les vieilles centrales nucléaires.