Analyse

Pour stocker l’électricité des renouvelables, des hectares de batteries sortent de terre

Article réservé à nos abonnés.
En 2023, il y a eu 147 heures de prix négatifs dans l’Hexagone et 235 heures pour le seul premier semestre 2024.
En 2023, il y a eu 147 heures de prix négatifs dans l’Hexagone et 235 heures pour le seul premier semestre 2024. Totalenergies
Les énergies renouvelables, qui dépendent de la météo, sont par nature intermittentes. Ces variations de la production engendrent une forte volatilité des prix du courant. Pour maintenir l’équilibre du système électrique, les projets de parcs de batteries se multiplient.

Après les éoliennes et les panneaux solaires, c’est au tour des batteries stationnaires de faire irruption dans le paysage. Elles ressemblent à de gros conteneurs et sont disposées à proximité des transformateurs de RTE, le gestionnaire du réseau de transport d’électricité. Pour l’instant, on n’en compte encore que quelques dizaines, relativement discrètes.

Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Déjà abonné ?
OSZAR »