Lundi à midi, la cérémonie de recueillement sur la promenade des Anglais à Nice, en hommage aux victimes de l’attentat du 14 juillet, n’a pas été unanime. À son arrivée puis à son départ, le premier ministre a essuyé des huées, sifflets et cris d’« assassins » et « démission ». Des insultes jamais entendues lors d’un deuil national et jugées « indignes » par Manuel Valls.
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