L’exécutif sort affaibli de l’attaque à Nice

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Alors que la droite fait assaut de critiques, François Hollande et le gouvernement perdent la confiance que l’opinion publique leur avait conservée après les attentats de janvier et novembre 2015.

Lundi à midi, la cérémonie de recueillement sur la promenade des Anglais à Nice, en hommage aux victimes de l’attentat du 14 juillet, n’a pas été unanime. À son arrivée puis à son départ, le premier ministre a essuyé des huées, sifflets et cris d’« assassins » et « démission ». Des insultes jamais entendues lors d’un deuil national et jugées « indignes » par Manuel Valls.

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