« Un jour, je me suis rendu compte que je n’arrivais plus à m’ôter les poils du nez. » Michel Perozzo, 60 ans, aime pratiquer un humour pince-sans-rire. C’est ainsi qu’il décrit – par écrit, car il ne peut plus s’exprimer autrement – les premières atteintes, en 2015, de la sclérose latérale amyotrophique (SLA), plus connue sous le nom de maladie de Charcot : une perte de motricité des mains, en particulier du mouvement « pouce index », qui l’empêche d’accomplir ce petit geste du quotidien.
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