Analyse

En Birmanie, l’ONU pointe des crimes de guerre

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Photo de l’école de Depeyin, dans le nord-ouest de la Birmanie, prise le 17 septembre 2022, après l’attaque qui a fait 14 morts, dont 12 enfants.
Photo de l’école de Depeyin, dans le nord-ouest de la Birmanie, prise le 17 septembre 2022, après l’attaque qui a fait 14 morts, dont 12 enfants. AFP
L’attaque de l’armée birmane il y a deux semaines sur une école dans le nord-ouest du pays, qui a coûté la vie à 12 enfants, s’apparente à un crime de guerre, selon des experts de l’ONU, qui se sont exprimé mardi 27 septembre. Les combats entre l’armée et les rebelles ravagent des régions entières, d’où fuient des centaines de milliers de civils.

Du sang, des cris d’agonie, des dépouilles évacuées… Le village de Depeyin, dans le nord-ouest de la Birmanie, a été le théâtre de sanglants affrontements il y a deux semaines entre l’armée birmane et les rebelles.

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