Les coudes plantés sur une table trop brillante, Artak Hovhannisyan enfonce son visage rouge dans ses énormes mains pour retenir un sanglot. Quelques secondes s’écoulent, pendant lesquelles le regard se pose sur les barres chocolatées empilées devant lui dans une coupelle en porcelaine, et l’on se demande si tous les salons d’Arménie sont aussi tristes que celui-ci.
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