Psaume 102

" Comme est la tendresse du Père pour ses fils", dit le Psaume 102, "Notre Père qui est aux cieux... pardonne-nous nos offenses...", dira Jésus. Dans le psaume on peut déjà entendre les cris de joie du père miséricordieux qui ouvre ses bras à son fils qui revient vers lui (Luc 15) : après un voyage de perdition, le fils a gardé l'alliance du Père et s'est souvenu d'accomplir sa volonté. A l'heure de notre mort, Dieu se souvient que nous sommes poussière et nous dit que son amour, sur ceux qui espèrent en lui, est de toujours à toujours, en d'autres mots: un amour pour l'éternité.

Le Seigneur est tendresse et pitié, lent à la colère et plein d'amour ; il n'agit pas envers nous selon nos fautes, ne nous rend pas selon nos offenses.

 


Comme la tendresse du père pour ses fils, la tendresse du Seigneur pour qui le craint !  Il sait de quoi nous sommes pétris, il se souvient que nous sommes poussière.

L'homme ! ses jours sont comme l'herbe ; comme la fleur des champs, il fleurit : dès que souffle le vent, il n'est plus, même la place où il était l'ignore.
Mais l'amour du Seigneur, sur ceux qui le craignent, est de toujours à toujours, et sa justice pour les enfants de leurs enfants, pour ceux qui gardent son alliance et se souviennent d'accomplir ses volontés.

OSZAR »