Dans la poudrière de la citadelle de Port-Louis, aux avant-postes de la rade de Lorient (Morbihan), des clichés en noir et blanc témoignent du regard unique de Germaine Kanova sur la Libération. Longtemps méconnue, cette photographe d’exception sort enfin de l’ombre grâce à une rétrospective que lui consacre, cinquante ans tout juste après sa mort, le Musée de la marine (1). On peut également voir certains de ses clichés au Mémorial des martyrs de la déportation, à Paris, dans le cadre d’une exposition sur la découverte des camps organisée par l’Office national des combattants et des victimes de guerre (ONaCVG) (2).
Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Je m'abonne
Déjà abonné ? Je me connecte