Pour Laura Wandel, l’enfance est un territoire qui n’est pas toujours synonyme d’innocence. En deux films, cette réalisatrice belge de 41 ans, formée à l’Institut des arts de diffusion (IAD) à Louvain-la-Neuve, en explore toute l’âpreté, du harcèlement scolaire à la maltraitance infantile, dans une forme de réalisme radical qui refuse la facilité et agit à la manière d’un uppercut. Avec toujours la même démarche : une longue observation documentaire préalable, puis un scénario qui nous plonge en immersion dans un lieu et un temps réduit où se noue le drame.
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