Le geste humanitaire, à la différence des précédents consentis en période de trêve, prend place dans un moment où Israël s’apprête à lancer une vaste offensive sur Gaza. D’un côté, le cabinet de guerre israélien s’est dit prêt dans la nuit de dimanche à lundi, « si nécessaire », à rouvrir certains points de passage par lesquels l’aide transite. Objectif assumé : « empêcher le Hamas de prendre le contrôle des approvisionnements » à Gaza, où il y aurait à ses yeux « suffisamment de nourriture ». De l’autre, il valide le principe de « la conquête de la bande de Gaza » et réaffirme le plan Trump, qui prévoit le départ « volontaire » de la population.
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