Quelles seront les conditions pour accéder au nouveau « droit à l’aide à mourir » inscrit dans la proposition de loi actuellement examinée à l’Assemblée nationale ? C’est sur ce point – crucial, car il détermine l’ouverture plus ou moins large du dispositif et donc le nombre de personnes potentiellement éligibles – que se sont penchés les députés, samedi 17 mai soir et toute la journée du lundi 19 mai, lors d’un débat, certes policé, mais qui aura rapidement viré au dialogue de sourds entre ceux qui estiment que les critères posés sont trop « restrictifs » et ceux qui jugent qu’ils sont trop « permissifs ».
Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Je m'abonne
Déjà abonné ? Je me connecte