Analyse

Au procès des attentats du 13-Novembre, la riposte frontale de la défense

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Olivia Ronen, avocate de Salah Abdeslam, rentre dans la salle d’audience, le 8 septembre.
Olivia Ronen, avocate de Salah Abdeslam, rentre dans la salle d’audience, le 8 septembre. Alain Jocard / AFP
Après le réquisitoire sévère du parquet antiterroriste, les avocats des accusés se relaient depuis dix jours pour mettre en lumière certaines failles de l’accusation. Ils demandent aussi à la cour de résister à la tentation de vouloir, dans ce procès hors norme, rendre « un verdict pour l’Histoire ».

Qu’est-ce qu’une « peine juste » dans un grand procès pour terrorisme ? À quelle hauteur faut-il condamner des personnes accusées d’être impliquées dans les attentats les plus graves jamais perpétrés sur le sol français ? Et faut-il que, dans un procès historique, le verdict d’une cour d'assises le soit tout autant ? Jamais, peut-être, ces questions ne se sont posées avec autant de force dans une enceinte de justice.

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