Qu’est-ce qu’une « peine juste » dans un grand procès pour terrorisme ? À quelle hauteur faut-il condamner des personnes accusées d’être impliquées dans les attentats les plus graves jamais perpétrés sur le sol français ? Et faut-il que, dans un procès historique, le verdict d’une cour d'assises le soit tout autant ? Jamais, peut-être, ces questions ne se sont posées avec autant de force dans une enceinte de justice.
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