De mémoire d’électeur, de souvenir de candidat, jamais une campagne présidentielle n’avait été aussi déstabilisante. Comme un train de foire, elle a embarqué tout son petit monde dans une alternance de longs tunnels et de sensations fortes.
Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Je m'abonne
Déjà abonné ? Je me connecte