J’ai hésité avant d’écrire ce texte car il traite de quelque chose de très personnel. Et puis je me suis rappelé que j’avais inauguré cette chronique en parlant de mon appétence pour les rognons. Je ne suis donc plus à ça près. D’autant que, ai-je pensé, cette histoire pouvait trouver un écho chez certains d’entre vous.
Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Je m'abonne
Déjà abonné ? Je me connecte