Analyse

À Tours, l’université s’attaque au fléau des violences sexuelles et sexistes

Article réservé à nos abonnés.
La faculté de médecine de Tours, l’un des campus de l’Université tourangelle.
La faculté de médecine de Tours, l’un des campus de l’Université tourangelle. NR / La Nouvelle République/Maxppp
Une enquête pénale a été ouverte en mars 2025 par le parquet de Tours (Indre-et-Loire) à la suite de la révélation de faits d’agressions sexuelles lors de quatre soirées étudiantes entre octobre 2023 et septembre 2024. L’université, de son côté, a pris des mesures drastiques.

La sérénité revient progressivement à l’université de Tours (Indre-et-Loire). En médecine, les étudiants, en examen ou en stage, vont enfin tourner la page d’une année particulièrement éprouvante. La nouvelle direction de l’établissement, présidé depuis fin novembre par le chercheur en virologie Philippe Roingeard, a pris à bras-le-corps le problème des violences sexuelles et sexistes qui se sont répétées ces derniers mois lors de soirées étudiantes.

Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Déjà abonné ?
OSZAR »