Critique

Rencontres d’Arles : l’humanité à vif dans l’objectif de Mary Ellen Mark

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La famille Damm vit dans sa voiture, Los Angeles, California, 1987.
La famille Damm vit dans sa voiture, Los Angeles, California, 1987. Mary Ellen Mark.
Les rencontres d’Arles proposent une première rétrospective mondiale de l’œuvre de Mary Ellen Mark. Au croisement du reportage, du documentaire social et du portrait, la photographe américaine porte son regard humaniste sur le monde, attentif à ceux qui sont relégués aux marges de la société.

Sous le titre générique Sous la surface, la 55e édition des Rencontres d’Arles nous invite à voir au-delà des apparences. À l’écoute des pulsations du monde, les récits photographiques se déplient, se superposent et se répondent, entremêlant leurs voix singulières. Parmi cette offre riche d’une quarantaine de propositions, Rencontres, l’accrochage consacré à Mary Ellen Mark à l’Espace Van-Gogh en constitue le point d’orgue.

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