En saluant le « courage » d’Israël pour ses frappes sur les sites nucléaires iraniens le 13 juin, jugeant que Tel-Aviv faisait « le sale boulot pour nous tous », le chancelier allemand s’est attiré des critiques à domicile comme à l’étranger, jugeant ses commentaires peu diplomatiques. Friedrich Merz n’en a cure, et réitère son soutien au lendemain des frappes américaines contre l’Iran. « Nous n’avons aucune raison de critiquer ce qu’Israël a débuté il y a une semaine, ni de critiquer ce que l’Amérique a fait le week-end dernier », a-t-il déclaré le 23 juin.
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