Alors qu’Israël menace d’étendre ses opérations militaires dans la bande de Gaza et poursuit son entreprise de colonisation en Cisjordanie occupée, un événement en apparence à contre-courant rassemble, depuis jeudi et jusqu’à vendredi, « le camp de la paix » à Jérusalem. Le « Sommet pour la paix des peuples » souhaite donner un second souffle à ce mouvement et proposer une alternative politique à la guerre sans fin. Dans un territoire où parler de paix est perçu au mieux comme de la naïveté, au pire comme de la traîtrise, une coalition de 60 ONG a organisé des activités dans Jérusalem le 8 mai, et 6 000 personnes se sont inscrites aux conférences du 9 mai.
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