Son interview de mars 2013, une des premières ayant suivi l’élection de François, avait marqué. Face aux caméras de CNN, le cardinal américain Timothy Dolan, fraîchement sorti de la chapelle Sixtine, expliquait, dans les grandes lignes, que Jorge Mario Bergoglio était exactement celui qu’il fallait à ce moment-là de l’histoire de l’Église. Quelques jours plus tôt, les congrégations générales – ces réunions des cardinaux précédant le conclave –, l’avaient convaincu que François serait élu. Une confiance qui dit quelque chose de la personnalité du cardinal Dolan : un homme à la fois très politique et fin connaisseur de l’institution catholique.
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