Analyse

Festival d’Aix 2023 : les trois partitions de Stravinski pour les Ballets russes

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Igor Stravinsky en 1939. Quand bien même Igor Stravinski s’est essayé à toutes les esthétiques (néoclassique, sérielle…), c’est toujours à son inspiration russe que reste attachée sa renommée.
Igor Stravinsky en 1939. Quand bien même Igor Stravinski s’est essayé à toutes les esthétiques (néoclassique, sérielle…), c’est toujours à son inspiration russe que reste attachée sa renommée. AP
Associant musique et cinéma, le Festival propose une mise en abyme visuelle des partitions fulgurantes écrites par le compositeur russe entre 1910 et 1913. Un pari à découvrir à partir du 8 juillet.

De 1910 à 1913, Igor Stravinski a produit trois œuvres, à la demande de l’entrepreneur de spectacles Serge de Diaghilev pour ses Ballets russes, eux qui ravissaient Paris depuis un an. Le compositeur est encore tout pétri de son « atavisme » national, forgé notamment auprès de son maître Rimski-Korsakov et de ses nombreuses soirées passées au Théâtre Mariinsky, à Saint-Pétersbourg, à écouter les œuvres de Tchaïkovski ou de Glinka.

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