Le rachat à marche forcée de Credit Suisse est un coup dur pour la Confédération helvétique. Le pays a construit une bonne part de son économie sur la réputation d’excellence de ses banques. Héritière d’une histoire de 160 ans, Credit Suisse était le deuxième établissement du pays, avec 50 000 salariés et plus de 1 600 milliards d’euros sous gestion. Lundi 20 mars, cette vénérable institution zurichoise a disparu en quelques heures, rachetée par le numéro un, UBS.
Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Je m'abonne
Déjà abonné ? Je me connecte