Dix ans après la révolution, le butin est bien maigre. Alors que le clan Ben Ali – une centaine de proches de l’ancien président – avait fait main basse sur les secteurs lucratifs de l’économie, et détourné à leur profit 21 % des bénéfices du secteur privé selon la Banque mondiale, les Tunisiens n’ont quasiment rien récupéré de cette manne.
Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Je m'abonne
Déjà abonné ? Je me connecte