L’histoire aura été mouvementée, peut-être jusqu’à l’épilogue : la perspective de la fin, le 1er janvier 2025, du contrat permettant le transit de gaz russe par l’Ukraine est depuis deux semaines au cœur d’une crise diplomatique. Celle-ci oppose d’un côté Kiev, qui a annoncé il y a plusieurs mois son intention de ne pas renouveler le contrat, et d’un autre la Slovaquie du premier ministre Robert Fico, particulièrement dépendante de ce même gaz russe.
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