Analyse

IVG dans la Constitution : à droite, l’opposition affûte ses armes

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Gabriel Attal, Marie Lebec et Eric Dupond Moretti lors d’une séance des questions au gouvernement, le 16 janvier 2024.
Gabriel Attal, Marie Lebec et Eric Dupond Moretti lors d’une séance des questions au gouvernement, le 16 janvier 2024. Thomas Padilla / MAXPPP
Le projet de loi visant à inscrire l’IVG dans la Constitution a été adopté en commission ce mercredi 17 janvier à l’Assemblée nationale, une semaine avant d’arriver en séance publique. Tandis que Les Républicains redoutent une rupture des équilibres de la loi Veil, le RN juge le droit à l’avortement « absolument pas menacé ».

Le 17 janvier 1975, la loi Veil était promulguée, permettant à toute Française enceinte de demander l’interruption de sa grossesse sans avoir à fournir de justification. Tout juste quarante-neuf ans plus tard, ce mercredi après-midi, l’Assemblée nationale commençait l’examen d’un projet de loi visant à graver cette liberté dans le marbre constitutionnel. Cet examen a d’abord eu lieu commission des lois, qui a adopté le texte à la mi-journée, une semaine avant son arrivée le mercredi suivant 24 janvier, dans l’hémicycle.

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