Analyse

Au Liban, Nawaf Salam tient son gouvernement de « réformes et de salut »

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Le premier ministre libanais Nawaf Salam, le 14 janvier 2025 à Beyrouth.
Le premier ministre libanais Nawaf Salam, le 14 janvier 2025 à Beyrouth. Bilal Jawich
Le nouveau cabinet devra relever de nombreux défis à commencer par le rétablissement de la confiance financière. Il met fin à plus de deux ans de gouvernance par intérim de Najib Mikati.

Moins d’un mois après avoir été désigné premier ministre, l’ancien président de la Cour internationale de justice, Nawaf Salam, est finalement parvenu samedi 8 février à accoucher d’un gouvernement « de réformes et de salut » composé de 24 ministres, dont cinq femmes. Une naissance laborieuse saluée par l’ONU, l’Union européenne et les États-Unis comme un « nouveau chapitre ». D’intenses tractations auront été nécessaires avec les différents partis libanais représentés au Parlement, chacun espérant obtenir sa part du gâteau. Au Liban, les portefeuilles ministériels sont répartis en fonction de leur appartenance confessionnelle.

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