Moins d’un mois après avoir été désigné premier ministre, l’ancien président de la Cour internationale de justice, Nawaf Salam, est finalement parvenu samedi 8 février à accoucher d’un gouvernement « de réformes et de salut » composé de 24 ministres, dont cinq femmes. Une naissance laborieuse saluée par l’ONU, l’Union européenne et les États-Unis comme un « nouveau chapitre ». D’intenses tractations auront été nécessaires avec les différents partis libanais représentés au Parlement, chacun espérant obtenir sa part du gâteau. Au Liban, les portefeuilles ministériels sont répartis en fonction de leur appartenance confessionnelle.
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