Analyse

Crise entre la France et l’Algérie : la mésentente permanente

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Jean-Noël Barrot (de dos) et Ahmed Attaf, respectivement ministres des affaires étrangères français et algérien, à Alger, le 6 avril.
Jean-Noël Barrot (de dos) et Ahmed Attaf, respectivement ministres des affaires étrangères français et algérien, à Alger, le 6 avril. PHILEMON HENRY / AFP
La crise diplomatique entre les deux États est relancée, après l’expulsion de 12 agents consulaires français à Alger et la riposte symétrique de la France. Et ce en dépit de la volonté de réchauffement manifestée par les présidents Tebboune et Macron deux semaines plus tôt.

La réplique était attendue. Mardi soir, Paris a annoncé l’expulsion de 12 agents consulaires algériens, quarante-huit heures après que l’Algérie a déclaré persona non grata autant de fonctionnaires français en poste à Alger. Une décision assortie du rappel à Paris « pour consultations » de l’ambassadeur de France en Algérie, Stéphane Romatet, façon d’illustrer plus encore le déplaisir de la France de voir la crise diplomatique entre les deux pays repartir de plus belle.

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