« Dites-moi que c’est une blague. » C’est en ces termes narquois qu’Hillary Clinton a réagi, lundi 24 mars, en postant l’article révélant le scandale qui venait de frapper l’administration Trump. L’ironie de cette histoire n’a pas échappé à la candidate démocrate malheureuse à la présidentielle de 2016. À l’époque, son rival Donald Trump l’avait attaquée sans relâche pour avoir envoyé des courriels officiels via sa messagerie privée et non sécurisée alors qu’elle était secrétaire d’État. C’est « le plus grand scandale politique depuis le Watergate », avait même dénoncé le milliardaire républicain, vainqueur du scrutin.
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