Analyse

États-Unis : appels à démission après la divulgation de plans militaires par erreur

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Le conseiller américain à la sécurité nationale, Mike Waltz, le 7 mars, à Washington.
Le conseiller américain à la sécurité nationale, Mike Waltz, le 7 mars, à Washington. Chris Kleponis - CNP / picture alliance / Consolidated News Photos
Le conseiller américain à la sécurité nationale, Mike Waltz, est accusé d’avoir ajouté par erreur un journaliste à des échanges sur la messagerie Signal portant sur un plan d’attaque militaire au Yémen. Donald Trump n’y voit qu’un « pépin sans gravité ».

« Dites-moi que c’est une blague. » C’est en ces termes narquois qu’Hillary Clinton a réagi, lundi 24 mars, en postant l’article révélant le scandale qui venait de frapper l’administration Trump. L’ironie de cette histoire n’a pas échappé à la candidate démocrate malheureuse à la présidentielle de 2016. À l’époque, son rival Donald Trump l’avait attaquée sans relâche pour avoir envoyé des courriels officiels via sa messagerie privée et non sécurisée alors qu’elle était secrétaire d’État. C’est « le plus grand scandale politique depuis le Watergate », avait même dénoncé le milliardaire républicain, vainqueur du scrutin.

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