« Il n’y a pas d’argent », se lamente un retraité devant un distributeur automatique de billets, incapable de retirer sa maigre solde de 500 000 livres syriennes (35 €). Presque six mois après la chute de Bachar Al Assad, la situation économique reste tendue en Syrie. Et comme la veille, ce DAB de Bab Touma, à Damas, est vide. « Rien ne s’arrange dans le pays : ni la sécurité ni l’économie », maugrée cet habitant, après trois jours de vaines tentatives.
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