Reportage

Au Festival des poussières, des chrétiens de gauche réinventent leur place dans l’Église

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La deuxième édition du Festival des poussières offre un « moment de repos et de réconfort » à de jeunes chrétiens de gauche.
La deuxième édition du Festival des poussières offre un « moment de repos et de réconfort » à de jeunes chrétiens de gauche. Juliette De Vaublanc
Le Festival des poussières se tenait du jeudi 22 au dimanche 25 août à La Bussière-sur-Ouche (Côte-d’Or). Une occasion pour des jeunes catholiques de gauche de construire, entre militantisme et prière, un espace à leur image, alors que certains se sentent éloignés de l’Église.

Assis sous un chapiteau de cirque pour écouter la conférence d’ouverture, jeudi 22 août après-midi, une centaine de participants du Festival des poussières se lancent une pelote de laine. Peu à peu, la bobine devient une grande toile tissée entre les jeunes croyants. Ce mince fil doit symboliser les liens créés durant leur séjour de quatre jours à la ferme du Goshen, à La Bussière-sur-Ouche. Dans ce village situé près de Dijon (Côte-d’Or), la deuxième édition du Festival des poussières s’est tenue du 22 au 25 août. Une proposition originale dans le paysage chrétien français, où les festivaliers ont partagé leur temps, pendant quatre jours, entre conférences, discussions, services et fêtes.

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