À quelques jours de l’entrée en conclave, mercredi 7 mai, les attentes se précisent parmi les cardinaux. Ni François II, ni Benoît XVII : le pape attendu devra s’inscrire dans une histoire sans s’y réduire, rassembler une Église diverse, et guider un monde catholique secoué par la sécularisation. Dans un seul but : rendre encore possible l’évangélisation.
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