« C’est une avancée majeure qui pourrait changer la donne de la greffe d’organes dans le monde en améliorant la prise en charge des patients. » Lorsqu’il évoque la « biopsie liquide », Alexandre Loupy, professeur à l’hôpital Necker, chercheur à l’Inserm et directeur de l’Institut de transplantation et de régénération d’organes de Paris (Pitor), ne cache ni sa fierté ni son enthousiasme.
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